Cette affirmation de Jean Giono à l'occasion de la mort de Fidel Castro : pour déplorer que pour se débarrasser d'un colonisateur il faille recourir à la dictature, comme Cuba a été obligé de le faire pour se débarrasser des États-Unis et de sa mafia.
Le malheur est que Castro a cru devoir s'accrocher au pouvoir une fois son œuvre de libération accomplie (et peut-être avait-il raison de le faire, on ne sait).
Le malheur est que Castro a cru devoir s'accrocher au pouvoir une fois son œuvre de libération accomplie (et peut-être avait-il raison de le faire, on ne sait).
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