Une vue du Colisée, en 1747, avec l'Arc de Constantin à droite, dans une toile de Giovanni Paolo Pannini.
Tout semble en meilleur état, plus « romantique » qu'aujourd'hui.
En réalité tout est déplacé : l'Arc n'est pas placé dans la toile où il est en réalité et il est plus grand.
Et le Colisée semble presque intact.
Le peintre a probablement voulu dissimuler les déprédations pontificales et ecclésiastiques.
Tout pour attirer le tourisme et le pèlerinage, comme aujourd'hui où, dès qu'on met le pied à l'intérieur de Saint-Pierre, voire sur la place dessinée par Le Bernin, on est, d'entrée de jeu, considérée comme un croyant en quête de grâces et, de ce fait, un naïf à exploiter, comme l'immense troupeau de ceux qui, chez eux ou à Rome même, se font tondre pour entretenir prélats et domestiques romains et les splendeurs de l'Église issue, selon elle, des souffrances de Jésus-Christ.
Tout semble en meilleur état, plus « romantique » qu'aujourd'hui.
En réalité tout est déplacé : l'Arc n'est pas placé dans la toile où il est en réalité et il est plus grand.
Et le Colisée semble presque intact.
Le peintre a probablement voulu dissimuler les déprédations pontificales et ecclésiastiques.
Tout pour attirer le tourisme et le pèlerinage, comme aujourd'hui où, dès qu'on met le pied à l'intérieur de Saint-Pierre, voire sur la place dessinée par Le Bernin, on est, d'entrée de jeu, considérée comme un croyant en quête de grâces et, de ce fait, un naïf à exploiter, comme l'immense troupeau de ceux qui, chez eux ou à Rome même, se font tondre pour entretenir prélats et domestiques romains et les splendeurs de l'Église issue, selon elle, des souffrances de Jésus-Christ.
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