Voici ce que j'appellerais « La Joconde » de l'exposition « La Couleur du jazz » sur le Groupe de Beaver Hall (page en anglais au bout de ce lien) du musée des beaux-arts de Montréal où nous sommes allés il y a déjà deux semaines.
Elle n'a pas le célèbre sourire mais, au moins, sa bouche n'a pas les plis revêches des lèvres des autres personnages représentés dans les autres portraits de l'exposition où personne, ni femme, ni homme, ne sourit.
C'est la caractéristique fondamentale des portraits de cette exposition, à mon avis.
« Anna » (c'est le nom du tableau et, sans doute, de cette « Mona Lisa »), dans ce qu'on pourrait appeler sa « sérénité », arbore ce qui se rapproche le plus d'un sourire.
Le tableau est de Lilas Torrance Newton (page en anglais au bout de ce lien).
Voici son cartel (je n'aurais pas, quant à moi, traduit « purchased » par « acheté » mais plutôt par « acquis », moins vénal) :
Elle n'a pas le célèbre sourire mais, au moins, sa bouche n'a pas les plis revêches des lèvres des autres personnages représentés dans les autres portraits de l'exposition où personne, ni femme, ni homme, ne sourit.
C'est la caractéristique fondamentale des portraits de cette exposition, à mon avis.
« Anna » (c'est le nom du tableau et, sans doute, de cette « Mona Lisa »), dans ce qu'on pourrait appeler sa « sérénité », arbore ce qui se rapproche le plus d'un sourire.
Le tableau est de Lilas Torrance Newton (page en anglais au bout de ce lien).
Voici son cartel (je n'aurais pas, quant à moi, traduit « purchased » par « acheté » mais plutôt par « acquis », moins vénal) :
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