Cette photo permet d'imaginer le caractère infernal de tous les crimes que la pièce de Shakespeare, « Macbeth », situe dans ce château, le château de Glamis.
Cette pièce où le héros éponyme définit la vie comme « un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. »
L'énorme nuage, lui-même apparemment possédé d'une fureur sanglante et satanique, semble vouloir embraser le château d'une flamme directement venue des enfers.
Il me semble, quant à moi, que le château ainsi représenté et la pièce de Shakespeare constituent une sorte de « mise en abyme » de l'histoire des monarques anglais, du moins depuis Guillaume le Conquérant, une histoire effectivement « pleine de bruit et de fureur ».
Voire une « mise en abyme » de l'histoire de l'Angleterre depuis la Conquête de 1066, et même avant.
Et cela même si le château est écossais plutôt qu'anglais.
Cette pièce où le héros éponyme définit la vie comme « un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. »
L'énorme nuage, lui-même apparemment possédé d'une fureur sanglante et satanique, semble vouloir embraser le château d'une flamme directement venue des enfers.
Il me semble, quant à moi, que le château ainsi représenté et la pièce de Shakespeare constituent une sorte de « mise en abyme » de l'histoire des monarques anglais, du moins depuis Guillaume le Conquérant, une histoire effectivement « pleine de bruit et de fureur ».
Voire une « mise en abyme » de l'histoire de l'Angleterre depuis la Conquête de 1066, et même avant.
Et cela même si le château est écossais plutôt qu'anglais.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire