C'est Montréal telle que nous l'avons connue dimanche dernier, après-midi et surtout soir (voire lundi matin), lors de notre récent séjour pour y fêter la nouvelle année avec nos enfants et petits-enfants (le deuxième y naîtra bientôt).
Nous étions comme des navires : glissant sur des ondes figées, poussés et repoussés tour à tour par des vents meurtriers soufflant tour à tour de toutes les directions.
Tout cela, pour revenir à Arvida, au terme d'un long voyage en autocars surchauffés, dans une ville glaciale et tout entière meurtrière de froid et d'hostilité.
Vous connaissez la chanson « J'haïs l'hiver ».
Malgré sa violence (relative), elle dit peu de la haine que j'éprouve à l'égard de cette saison, quelle qu'en soit la forme !
Nous étions comme des navires : glissant sur des ondes figées, poussés et repoussés tour à tour par des vents meurtriers soufflant tour à tour de toutes les directions.
Tout cela, pour revenir à Arvida, au terme d'un long voyage en autocars surchauffés, dans une ville glaciale et tout entière meurtrière de froid et d'hostilité.
Vous connaissez la chanson « J'haïs l'hiver ».
Malgré sa violence (relative), elle dit peu de la haine que j'éprouve à l'égard de cette saison, quelle qu'en soit la forme !
J'haïs l'hiver
Maudit hiver
Les dents serrées,
Maudit hiver
Les dents serrées,
les mains gercées,
les batteries à terre
J'haïs l'hiver
Maudit hiver
J'haïs l'hiver
Maudit hiver
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