Cette page couverture ironique du « New Yorker » est rendue possible grâce à l'introduction des « City bikes » à New York, que je signale parce que, comme ceux de Montréal (BIXI) et ceux de Londres (« Barclays Cycle Hire »), voire ceux de Boston et de Minneapolis (bientôt de Washington), ces vélos en libre-service sont des produits du Québec, voire du Saguenay (chez Devinci*) .
Mais, selon moi, les vélos stationnaires permettent d'aller aussi loin (dans la vie) que les vélos en libre-service (dans la ville).
Surtout l'hiver !
Voici des vélos de Londres :
* Ma femme et moi avons chacun notre vélo Devinci, que nous utilisons trop parcimonieusement peut-être. Nous utilisons davantage les vélos stationnaires.
Mais, selon moi, les vélos stationnaires permettent d'aller aussi loin (dans la vie) que les vélos en libre-service (dans la ville).
Surtout l'hiver !
Voici des vélos de Londres :
* Ma femme et moi avons chacun notre vélo Devinci, que nous utilisons trop parcimonieusement peut-être. Nous utilisons davantage les vélos stationnaires.
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