Ma femme et moi avons une expérience personnelle de cet accueil.
Nous pouvons témoigner qu'il n'a pas été très heureux (c'est une litote).
Nous venions de pays plus riches que la France, avec des bourses d'un montant très élevé, et l'on nous accueillait comme si nous demandions la charité.
Les fonctionnaires de police étaient particulièrement ignorants et cassants.
La plupart des étudiants québécois que nous avons connus à Aix-en-Provence, à Strasbourg et à Paris subissaient ce même humiliant parcours du combattant : imaginez celui des Africains, des Asiatiques et des Européens de l'Est.
C'est comme si nous étions des coloniaux.
Je n'évoque même pas l'accueil réservé aux personnes en provenance d'Afrique du nord.
(L'ignorant Sarkozy -ancien ministre de l'Intérieur si je ne me trompe- traitait d'ailleurs les Québécois de la même façon : c'est dire que les choses n'ont pas du tout changé, bien au contraire, depuis trente ans et plus)
On a constaté depuis cette époque une baisse dramatique du nombre des étudiants québécois voulant faire des études supérieures en France malgré les traités signés entre la France et le Québec pour faciliter ces études et faciliter les études des étudiants français au Québec.
Les étudiants français viennent volontiers étudier au Québec (des milliers chaque année) mais il n'y a presque plus d'étudiants québécois qui désirent aller étudier en France, alors que nous étions des milliers jadis.
Le rapport dont on parle dans l'article du « Nouvelobs » (ici) dont vous voyez la photo d'écran ci-dessus est absolument exact.
Pourquoi permettre des cours en anglais aux étudiants étrangers alors que l'on confie leur accueil à des ignares patibulaires et à des racistes ?
À des électeurs ou des élus du Front national ou du courant Copé de l'UMP ?
Ce sont ces personnes qu'il faut manifestement mettre hors d'état de nuire !
Nous pouvons témoigner qu'il n'a pas été très heureux (c'est une litote).
Nous venions de pays plus riches que la France, avec des bourses d'un montant très élevé, et l'on nous accueillait comme si nous demandions la charité.
Les fonctionnaires de police étaient particulièrement ignorants et cassants.
La plupart des étudiants québécois que nous avons connus à Aix-en-Provence, à Strasbourg et à Paris subissaient ce même humiliant parcours du combattant : imaginez celui des Africains, des Asiatiques et des Européens de l'Est.
C'est comme si nous étions des coloniaux.
Je n'évoque même pas l'accueil réservé aux personnes en provenance d'Afrique du nord.
(L'ignorant Sarkozy -ancien ministre de l'Intérieur si je ne me trompe- traitait d'ailleurs les Québécois de la même façon : c'est dire que les choses n'ont pas du tout changé, bien au contraire, depuis trente ans et plus)
On a constaté depuis cette époque une baisse dramatique du nombre des étudiants québécois voulant faire des études supérieures en France malgré les traités signés entre la France et le Québec pour faciliter ces études et faciliter les études des étudiants français au Québec.
Les étudiants français viennent volontiers étudier au Québec (des milliers chaque année) mais il n'y a presque plus d'étudiants québécois qui désirent aller étudier en France, alors que nous étions des milliers jadis.
Le rapport dont on parle dans l'article du « Nouvelobs » (ici) dont vous voyez la photo d'écran ci-dessus est absolument exact.
Pourquoi permettre des cours en anglais aux étudiants étrangers alors que l'on confie leur accueil à des ignares patibulaires et à des racistes ?
À des électeurs ou des élus du Front national ou du courant Copé de l'UMP ?
Ce sont ces personnes qu'il faut manifestement mettre hors d'état de nuire !
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