lundi 28 décembre 2015

La soie d'Amérique

C'est la « soie d'Amérique », tirée d'une plante québécoise nommée asclépiade, maintenant « soyer du Québec » :

« [C]ette fibre repousse l'eau, mais absorbe l'huile et le pétrole deux fois plus que les matériaux existants sur le marché en cas de déversement pétrolier.
C'est un isolant acoustique et surtout thermique. Le roi Louis XV utilisait déjà la soie d'Amérique pour ses vêtements chauds et avait attribué l'exclusivité de l'exploitation de la plante à son bonnetier, de la Rouvière. La conquête britannique a mis un terme à ce début d'exploitation, car l'empire regorgeait déjà de soie et de coton. »

« Chlorophylle, un fabricant québécois, [...] met au point une combinaison extrêmement chaude et hydrophobe qui pourrait remplacer le duvet et permettre à un alpiniste d'apporter deux fois moins de vêtements et de sacs de couchage dans une expédition. Le test suprême : l'Everest, en mai 2016. »

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