Je viens de terminer ce beau livre où j’ai appris tant de choses mais particulièrement les lents débuts de notre époque qui, hélas, tarde encore à naître, persécutée par les religions et leurs papes, les idéologies et leurs dictateurs, les mafias politiques et techno-ploutocratiques et leurs intimidateurs-violeurs.
Le Dieu que Spinoza a tué c’est le Dieu de ces gens qui le font prononcer leurs propres (ordurières) paroles et se servent de lui pour prendre et garder le pouvoir sur les humains, les animaux, les végétaux et les choses.
Spinoza a commencé à restaurer le Dieu dont nous sommes, chacun, êtres et choses, une partie !
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