Le premier ministre du Canada, avec son intelligence habituelle, dira-t-il qu'on ne respecte pas les gens qui n'y croient pas, à cette rotondité, en vertu de leurs croyances religieuses et de leur foi, et qu'en en parlant de tels sujets on attire l'ire des terroristes religieux, risquant la vie d'innocents ?
Et que dira le recteur de l'université où des professeurs abordent de tels sujets ?
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