C'est une reconstitution du sanctuaire d'Asclépios, à Épidaure.
C'est sans doute là que les malades consultaient le dieu ou son prêtre médecin.
Comme on peut le voir, le système de santé grec antique ne souffrait pas, comme le système de santé québécois, d'« hospitalo-centrisme », ou d'affection passionnée pour les salles d'attente surchargées, car on savait, chez les Grecs antiques, qu'il ne faut en aucun cas mettre les malades en présence les uns avec les autres puisqu'ils se transmettent alors leurs maladies respectives (maladies nosocomiales ou de cabinets médicaux).
Le dieu ou le prêtre médecin recevait les malades un à un et leur donnait des remèdes à s'administrer eux-mêmes à domicile ou s'occupait de les soigner lui-même chez eux.
Comme les médecins de tout temps avant que leurs successeurs préfèrent les usines à soins (hôpitaux) ou les ateliers à soins (cabinets médicaux) !
C'est sans doute là que les malades consultaient le dieu ou son prêtre médecin.
Comme on peut le voir, le système de santé grec antique ne souffrait pas, comme le système de santé québécois, d'« hospitalo-centrisme », ou d'affection passionnée pour les salles d'attente surchargées, car on savait, chez les Grecs antiques, qu'il ne faut en aucun cas mettre les malades en présence les uns avec les autres puisqu'ils se transmettent alors leurs maladies respectives (maladies nosocomiales ou de cabinets médicaux).
Le dieu ou le prêtre médecin recevait les malades un à un et leur donnait des remèdes à s'administrer eux-mêmes à domicile ou s'occupait de les soigner lui-même chez eux.
Comme les médecins de tout temps avant que leurs successeurs préfèrent les usines à soins (hôpitaux) ou les ateliers à soins (cabinets médicaux) !
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