C'est la deuxième fois que je présente cette épouvantable crucifixion dans ce blogue.
On ne la présentera jamais assez.
Je voudrais citer, en vous la présentant encore, ces paroles de la personne dont ces gens se proclament les héritiers et successeurs, Jésus qu'ils disent être le « christ », mais à qui, en réalité, ils ne croient pas, étant donné ce qu'ils font.
Car les sacrements du pardon sur lesquels ils comptent pour être pardonnés n'ont pas été créés par ce « christ » mais, au cours des siècles, par des gens comme eux, des imposteurs ayant les mêmes vices qu'eux et qui se rassuraient vainement ainsi sur leur salut éternel (et sur le salut des rois, des dictateurs et des riches ou nobles qui les finançaient), sans songer qu'ils ne pouvaient l'atteindre, ni eux, ni leurs commanditaires, que s'ils avaient suivi scrupuleusement les enseignements de leur « fondateur ».
Et non en inventant des pratiques qu'ils ont appelées « sacrements », à l'invention desquelles ni le « christ », ni un quelconque Dieu (s'il existe), n'ont participé, et que ces imposteurs ont taillées sur mesure pour s'entre-accorder le salut éternel en s'adonnant aux vices condamnés.
Voici les paroles qui les condamnaient d'avance, irrémédiablement :
Celui qui entraînera la chute d'un seul de ces petits qui croient en moi, il est préférable pour lui qu'on lui accroche au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu'on l'engloutisse en pleine mer.
On ne la présentera jamais assez.
Je voudrais citer, en vous la présentant encore, ces paroles de la personne dont ces gens se proclament les héritiers et successeurs, Jésus qu'ils disent être le « christ », mais à qui, en réalité, ils ne croient pas, étant donné ce qu'ils font.
Car les sacrements du pardon sur lesquels ils comptent pour être pardonnés n'ont pas été créés par ce « christ » mais, au cours des siècles, par des gens comme eux, des imposteurs ayant les mêmes vices qu'eux et qui se rassuraient vainement ainsi sur leur salut éternel (et sur le salut des rois, des dictateurs et des riches ou nobles qui les finançaient), sans songer qu'ils ne pouvaient l'atteindre, ni eux, ni leurs commanditaires, que s'ils avaient suivi scrupuleusement les enseignements de leur « fondateur ».
Et non en inventant des pratiques qu'ils ont appelées « sacrements », à l'invention desquelles ni le « christ », ni un quelconque Dieu (s'il existe), n'ont participé, et que ces imposteurs ont taillées sur mesure pour s'entre-accorder le salut éternel en s'adonnant aux vices condamnés.
Voici les paroles qui les condamnaient d'avance, irrémédiablement :
Celui qui entraînera la chute d'un seul de ces petits qui croient en moi, il est préférable pour lui qu'on lui accroche au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu'on l'engloutisse en pleine mer.
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