Vous êtes devant deux vues de la reconstitution de la bibliothèque d'Hadrien à Athènes.
Il n'en reste pas grand chose aujourd'hui, hélas, que des ruines que je juge négligées.
L'empereur Hadrien a tant construit à Athènes qu'ils se considérait lui-même comme l'égal de Thésée, le fondateur grec mythique de la ville.
Vous le savez si vous y êtes allés, il reste encore une porte (ou un arc) à Athènes, appelée de nos jours la « porte d'Hadrien ».
En voici une photo :
D'un côté de cette porte, celle qui tourne le dos à l'Acropole, Hadrien a fait inscrire : « ΑΙΔ' ΕIΣΙΝ ΑΘΗΝΑΙ ΘΗΣΕΩΣ Η ΠΡΙΝ ΠΟΛΙΣ » (« Ceci est Athènes, l'ancienne ville de Thésée »), et de l'autre côté : « ΑΙΔE ΑΔΡΙΑΝΟΥ ΚΟΥΧI ΘΗΣΕΩΣ ΠΟΛΙΣ » (« Ceci est la ville d'Hadrien, et non de Thésée »).
La bibliothèque n'est, évidemment, qu'un des nombreux monuments que l'empereur a fait construire dans la ville chère à son cœur et que le temps, les chrétiens ou les Barbares (les Hérules, notamment, mais aussi les Ottomans) ont peu à peu détruits.
En voici des ruines :
Il n'en reste pas grand chose aujourd'hui, hélas, que des ruines que je juge négligées.
L'empereur Hadrien a tant construit à Athènes qu'ils se considérait lui-même comme l'égal de Thésée, le fondateur grec mythique de la ville.
Vous le savez si vous y êtes allés, il reste encore une porte (ou un arc) à Athènes, appelée de nos jours la « porte d'Hadrien ».
En voici une photo :
D'un côté de cette porte, celle qui tourne le dos à l'Acropole, Hadrien a fait inscrire : « ΑΙΔ' ΕIΣΙΝ ΑΘΗΝΑΙ ΘΗΣΕΩΣ Η ΠΡΙΝ ΠΟΛΙΣ » (« Ceci est Athènes, l'ancienne ville de Thésée »), et de l'autre côté : « ΑΙΔE ΑΔΡΙΑΝΟΥ ΚΟΥΧI ΘΗΣΕΩΣ ΠΟΛΙΣ » (« Ceci est la ville d'Hadrien, et non de Thésée »).
La bibliothèque n'est, évidemment, qu'un des nombreux monuments que l'empereur a fait construire dans la ville chère à son cœur et que le temps, les chrétiens ou les Barbares (les Hérules, notamment, mais aussi les Ottomans) ont peu à peu détruits.
En voici des ruines :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire