Cette magnifique chaire de l'église Notre-Dame du Saint-Rosaire de Montréal comporte des statues du sculpteur québécois d'origine hongroise Bela de Zoltvany.
Celle de ces statues qui m'intéresse est celle des l'ange à la trompette qu'on a placée sur ce qu'on appelait l' « abat-voix », cette sorte de dais placé au-dessus de la chaire afin de renvoyer la voix du prédicateur qui y prêchait vers les fidèles plutôt que vers la voûte de l'église.
Voici une vue rapprochée de cet ange à la trompette :
Cet ange voulait faire croire que les paroles que prononçait le prédicateur étaient importantes, qu'elles étaient, à la limite, inspirées par Dieu.
Laissez-moi vous dire qu'il n'en était rien : elles étaient d'une telle stupidité (parlant, la plupart du temps, de l'argent nécessaire pour entretenir les bâtiments de la paroisse) qu'elles m'ont enlevé toute velléité de croire en un quelconque Dieu, s'il inspirait de telles paroles.
Comme en le Dieu de la Bible, infâme dans le Lévitique, notamment.
Celle de ces statues qui m'intéresse est celle des l'ange à la trompette qu'on a placée sur ce qu'on appelait l' « abat-voix », cette sorte de dais placé au-dessus de la chaire afin de renvoyer la voix du prédicateur qui y prêchait vers les fidèles plutôt que vers la voûte de l'église.
Voici une vue rapprochée de cet ange à la trompette :
Cet ange voulait faire croire que les paroles que prononçait le prédicateur étaient importantes, qu'elles étaient, à la limite, inspirées par Dieu.
Laissez-moi vous dire qu'il n'en était rien : elles étaient d'une telle stupidité (parlant, la plupart du temps, de l'argent nécessaire pour entretenir les bâtiments de la paroisse) qu'elles m'ont enlevé toute velléité de croire en un quelconque Dieu, s'il inspirait de telles paroles.
Comme en le Dieu de la Bible, infâme dans le Lévitique, notamment.
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