mercredi 31 janvier 2018
Verglas
Crédit photo : Marc Faubert
mardi 30 janvier 2018
L'aiguille
Je me demande si c'est de cette aiguille, qui me semble très moderne, trop moderne, qu'il est question dans l'expression « c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ».
Il me semble que l'aiguille originelle serait plus appropriée car elle serait plus difficile encore à trouver à cause de sa couleur, : une aiguille d'os comme celle-ci, par exemple, datant de la préhistoire :
Mais l'expression existait-elle en ces temps lointains ?
Il me semble que l'aiguille originelle serait plus appropriée car elle serait plus difficile encore à trouver à cause de sa couleur, : une aiguille d'os comme celle-ci, par exemple, datant de la préhistoire :
Mais l'expression existait-elle en ces temps lointains ?
lundi 29 janvier 2018
Se transmettre la grippe mortelle en embrassant une partie du cadavre d'un prétendu saint
C'est une partie du cadavre de celui que l'Église catholique appelle « saint Roch », les os d'un de ses tibias (celui-ci est à Montpellier, en France), que l'ignorante Église catholique espagnole obligeait ses fidèles à embrasser au moment où la grippe dite espagnole sévissait, peu après la 1ère guerre mondiale, faisant ainsi en sorte qu'ils se passent tous, malgré eux, la grippe mortelle, comme on l'apprend dans ce courriel de Books d'aujourd'hui, que voici :
Cette grippe n’a d’espagnol que le nom, nous apprend l’auteure. Elle a été nommée ainsi parce que l’épidémie est apparue pendant la guerre, et que les pays impliqués dans le conflit ont préféré censurer les informations la concernant. L’Espagne, non soumise au secret militaire, a été le premier pays à publier des rapports au sujet de la maladie, qui venait en réalité du Kansas.
Si la grippe espagnole a été aussi dévastatrice, c’est parce qu’elle a pris de court les autorités sanitaires de l’époque, les virus étant encore inconnus et indétectables avec les microscopes dont disposaient les scientifiques. La population adopta donc des attitudes aussi saugrenues que dangereuses. Les dirigeants chiliens décidèrent de bruler les maisons des plus pauvres, créant des camps de réfugiés et donc des foyers de contamination. En Espagne, les prêtres intimèrent à leurs paroissiens d’embrasser la relique de Saint Roch, se transmettant ainsi le virus. Les Américains avalèrent de l’aspirine en quantités astronomiques, les Indiens préfèrent, eux, les infusions aux plantes.
La grippe espagnole, plus meurtrière que les deux guerres mondiales
Dans Pale Rider, la journaliste Laura Spinney retrace l’histoire de la maladie responsable du « plus grand massacre du XXème siècle » : la grippe espagnole. Entre 1918 et 1920, ce virus a infecté un tiers de la population mondiale, tuant près de 100 millions d’individus. « En d’autres termes, le bilan des victimes dépasse probablement le nombres de personnes tuées au cours des deux guerres mondiales », souligne Gérard DeGroot dans The Times.
Cette grippe n’a d’espagnol que le nom, nous apprend l’auteure. Elle a été nommée ainsi parce que l’épidémie est apparue pendant la guerre, et que les pays impliqués dans le conflit ont préféré censurer les informations la concernant. L’Espagne, non soumise au secret militaire, a été le premier pays à publier des rapports au sujet de la maladie, qui venait en réalité du Kansas.
Si la grippe espagnole a été aussi dévastatrice, c’est parce qu’elle a pris de court les autorités sanitaires de l’époque, les virus étant encore inconnus et indétectables avec les microscopes dont disposaient les scientifiques. La population adopta donc des attitudes aussi saugrenues que dangereuses. Les dirigeants chiliens décidèrent de bruler les maisons des plus pauvres, créant des camps de réfugiés et donc des foyers de contamination. En Espagne, les prêtres intimèrent à leurs paroissiens d’embrasser la relique de Saint Roch, se transmettant ainsi le virus. Les Américains avalèrent de l’aspirine en quantités astronomiques, les Indiens préfèrent, eux, les infusions aux plantes.
Le dieu chat est partout
Crédit photo : André Pichette/La Presse
Le dieu chat est partout !
dimanche 28 janvier 2018
Bow Bridge
C'est Central Park de New York sous la neige.
À droite le néo-classique Bow Bridge (page en anglais au bout de ce lien), construit vers 1862.
Je ne l'ai jamais vu ainsi, ce parc superbe qui, comme Moïse les eaux de la mer, ouvre, comme miraculeusement, les grandes eaux formées par les gratte-ciels qui l'enserrent pour créer un peu d'espace et d'air, un peu de nature dans la ville.
À gauche, les deux tours du San Remo, où l'on peut louer (si on est riche) de luxueux appartements avec vue sur cette nature dans la ville et jouir d'un facile accès à ses beautés.
Voici le pont vers la fin de l'été :
À droite le néo-classique Bow Bridge (page en anglais au bout de ce lien), construit vers 1862.
Je ne l'ai jamais vu ainsi, ce parc superbe qui, comme Moïse les eaux de la mer, ouvre, comme miraculeusement, les grandes eaux formées par les gratte-ciels qui l'enserrent pour créer un peu d'espace et d'air, un peu de nature dans la ville.
À gauche, les deux tours du San Remo, où l'on peut louer (si on est riche) de luxueux appartements avec vue sur cette nature dans la ville et jouir d'un facile accès à ses beautés.
Voici le pont vers la fin de l'été :
Bleus de paon
Un vase Tiffany à motif « queue de paon » de la boutique du Metropolitan Museum : merveilleux bleus, ne trouvez-vous pas ?
samedi 27 janvier 2018
La fabrication d'un dieu
C'est une vue rapprochée de la mosaïque d'un Christ Pantocrator de Sainte-Sophie de Constantinople.
On voit les tesselles qui forment cette mosaïque.
Je vous présente cette vue parce qu'elle m'a donné l'idée que le Christ qu'on présente comme le fondateur du christianisme, lui qui, pourtant, a été un membre de la religion juive jusqu'à sa mort, ce Christ est le fruit d'une mosaïque (millions de tesselles) de mensonges sur laquelle se sont édifiées ces édifices de mensonges que sont les églises chrétiennes.
La mosaïque de Sainte-Sophie le révèle, quand on y regarde de près !
Voici la mosaïque vue d'un peu plus loin :
Voici le visage dont les marques de fabrication ont disparu et qu'on aperçoit, dans la basilique, sur son fond doré :
On voit les tesselles qui forment cette mosaïque.
Je vous présente cette vue parce qu'elle m'a donné l'idée que le Christ qu'on présente comme le fondateur du christianisme, lui qui, pourtant, a été un membre de la religion juive jusqu'à sa mort, ce Christ est le fruit d'une mosaïque (millions de tesselles) de mensonges sur laquelle se sont édifiées ces édifices de mensonges que sont les églises chrétiennes.
La mosaïque de Sainte-Sophie le révèle, quand on y regarde de près !
Voici la mosaïque vue d'un peu plus loin :
Voici le visage dont les marques de fabrication ont disparu et qu'on aperçoit, dans la basilique, sur son fond doré :
vendredi 26 janvier 2018
Poing d'acier
Une sculpture de l'artiste chinois Liu Bolin.
Elle est intitulée « Poing d'acier » !
Quand on s'avise du fait que Bolin est chinois, on sait ce qu'elle signifie en premier lieu !
Mais elle a bien d'autres significations !
Le poing est masculin, on peut penser à d'autres types de dominations violentes, comme celle qu'exercent certains hommes sur certaines femmes ou certains enfants, en profitant d'un quelconque pouvoir, pas seulement politique, qu'ils croient posséder ou que la société ou les croyances leur prête(nt) !
Elle est intitulée « Poing d'acier » !
Quand on s'avise du fait que Bolin est chinois, on sait ce qu'elle signifie en premier lieu !
Mais elle a bien d'autres significations !
Le poing est masculin, on peut penser à d'autres types de dominations violentes, comme celle qu'exercent certains hommes sur certaines femmes ou certains enfants, en profitant d'un quelconque pouvoir, pas seulement politique, qu'ils croient posséder ou que la société ou les croyances leur prête(nt) !
jeudi 25 janvier 2018
mercredi 24 janvier 2018
L'enfer de l'hiver
Crédit photo : © Adam Woodworth
Oui, l'enfer de l'hiver : il n'y en a pas de pire, même dans l'imagination féconde des bricoleurs de religions !
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