lundi 25 juillet 2016

Cheval et prince juif conducteur de char

C'est une mosaïque représentant un conducteur de char romain et un de ses chevaux.
C'est le superbe cheval qui a d'abord attiré mon attention.
Puis, en observant le conducteur de char et son teint, je me suis demandé si la mosaïque ne représentait pas un compatriote de Ben-Hur, prince juif de l'époque de Jésus-Christ, comme vous vous en souvenez peut-être.
Coup double : beau cheval et prince juif au service des plaisirs des Romains, sans doute dans le Circus Maximus, face au palais impérial, à Rome.
Je puis même vous présenter une reconstitution du lieu :

 Et le voici, en bas, au premier plan, sur la maquette de Rome dite « de Gismondi » :
 

4 commentaires:

Dominic Collard a dit…

Votre billet n'est pas sans me faire penser au magnifique livre que je lis actuellement Empire:Un fabuleux voyage chez les Romains avec un sesterce en poche. Le récit nous fait voyager dans cet empire en suivant cette pièce de monnaie qui passe de main en main. Le chapitre « Circus Maximus » est particulièrement savoureux! Je termine mon intervention avec cette anecdote: comme Rome était très grande, il semblerait que des gens peignaient les ailes de pigeons (rouge, bleu, blanc ou vert comme les couleurs des écuries du temps) pour faire connaitre le résultat des courses importantes. Il semblerait que l'idée viendrait d'un certain Cecina et que la méthode ait été toujours en place sous Trajan. Dans le livre d'Alberto Angela, l'un des chevaux gagnants portait le nom de Sagitta.

Jack a dit…

L'auteur de ce livre ?

Dominic Collard a dit…

Alberto Angela.

Jack a dit…

Merci !

Enregistrer un commentaire