mercredi 20 juillet 2016

Suave, mari magno ...

J'ai toujours aimé le principe des cabines de plage, surtout quand elles ajoutent quelque chose au paysage, comme ici à Muizenberg, près du Cap, en Afrique du Sud.
Mais pas seulement pour changer de vêtements.
Pour être à l'ombre et se détendre, même à la plage.
Se détendre en s'asseyant ou se couchant sur quelque chose de plus confortable que du sable (voire, pire encore, des galets).
Se protéger du soleil, que ni ma peau, ni mes yeux, ni moi ne pouvons regarder longtemps en face ou subir ses brûlures.
Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement », dit la maxime de La Rochefoucauld).
Il est si bon, à l'abri, de voir l'eau s'agiter doucement, et les passant(e)s passer.
Oserais-je : « Suave, mari magno ... » ?

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