Cette toile de François Octave Tassaert, et étrangement intitulée « La femme damnée », est de 1859, l'année suivant la condamnation des « Fleurs du mal ».
Décidément le 19e siècle en avait contre les « œuvres de chair », pour employer un vocabulaire religieux à l'origine de toutes les condamnations, censures, intimidations, bûchers et massacres.
Parmi le quatuor des acteurs de cette « œuvre » à quatre, la femme me semble pourtant la personne la plus comblée.
« Que celui qui est sans péché lui lance la première pierre » !
N'est-ce pas la parole que les prélats et autres juges oublient toujours quand ils commettent la faute impardonnable d'ouvrir la bouche ?
Il me semble déceler derrière la toile comme une parodie de l'Assomption de la Vierge Marie (« la femme élue ») : les plaisirs de la chair me semblent effectivement valoir davantage que ceux du paradis d'après la mort, qui n'existent pas !
Décidément le 19e siècle en avait contre les « œuvres de chair », pour employer un vocabulaire religieux à l'origine de toutes les condamnations, censures, intimidations, bûchers et massacres.
Parmi le quatuor des acteurs de cette « œuvre » à quatre, la femme me semble pourtant la personne la plus comblée.
« Que celui qui est sans péché lui lance la première pierre » !
N'est-ce pas la parole que les prélats et autres juges oublient toujours quand ils commettent la faute impardonnable d'ouvrir la bouche ?
Il me semble déceler derrière la toile comme une parodie de l'Assomption de la Vierge Marie (« la femme élue ») : les plaisirs de la chair me semblent effectivement valoir davantage que ceux du paradis d'après la mort, qui n'existent pas !
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