Une affiche art déco de la compagnie aérienne britannique « Imperial Airways » représentant les gratte-ciels de New York et son port.
La compagnie avait été formée dans les années vingt dans le « but de faciliter les contacts avec les diverses colonies britanniques en organisant des lignes (relativement) rapides vers ces destinations, pour en retirer des bénéfices tant d’un point de vue politique que commercial ».
Les États-Unis n'étaient plus, depuis au moins un siècle et demi, à cette époque, une « colonie britannique » mais les Anglais nostalgiques avaient tendance à toujours les considérer comme telle.
Ils n'avaient pas trouvé l'expression que Churchill mettra de l'avant plus tard en parlant de « peuples de langue anglaise » plutôt que d' « empire » et de « colonies ».
D'ailleurs, vous remarquerez qu'il n'y a pas la statue de la Liberté dans la photo, don de la France à ce que celle-ci considérait comme la République-sœur étasunienne, et érigée dans le port de New York, justement.
Cette statue avait le malheur de rappeler le rôle indispensable de la France dans la libération des États-Unis, au 18e siècle, libération de la domination anglaise !
Il fallait, pour l' « Imperial Airways », dissimuler cette provocante statue, pour restaurer, du moins fictivement, ce qui avait été malheureusement détruit dans la réalité !
La compagnie avait été formée dans les années vingt dans le « but de faciliter les contacts avec les diverses colonies britanniques en organisant des lignes (relativement) rapides vers ces destinations, pour en retirer des bénéfices tant d’un point de vue politique que commercial ».
Les États-Unis n'étaient plus, depuis au moins un siècle et demi, à cette époque, une « colonie britannique » mais les Anglais nostalgiques avaient tendance à toujours les considérer comme telle.
Ils n'avaient pas trouvé l'expression que Churchill mettra de l'avant plus tard en parlant de « peuples de langue anglaise » plutôt que d' « empire » et de « colonies ».
D'ailleurs, vous remarquerez qu'il n'y a pas la statue de la Liberté dans la photo, don de la France à ce que celle-ci considérait comme la République-sœur étasunienne, et érigée dans le port de New York, justement.
Cette statue avait le malheur de rappeler le rôle indispensable de la France dans la libération des États-Unis, au 18e siècle, libération de la domination anglaise !
Il fallait, pour l' « Imperial Airways », dissimuler cette provocante statue, pour restaurer, du moins fictivement, ce qui avait été malheureusement détruit dans la réalité !
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