Martin-pêcheur à bandes
L'oiseau de Pouchkine (poème intitulé « La chanson » en russe)
Le petit oiseau de Dieu
n’a ni souci ni travail.
Pourquoi se fatiguer
à tresser un lit solide et durable ?
La nuit est longue,
une brindille suffit pour dormir.
Se lève le soleil en sa gloire,
le petit oiseau oit la voix divine.
Il secoue ses plumes
et gazouille son air.
Passé le printemps,
splendeur des saisons,
vient l’été et ses ardeurs ;
Puis le tardif automne,
ses brouillards et ses froids.
Pauvres humains, tristes humains !
Vers de lointaines rives,
en de doux climats,
au-delà de l’eau bleue,
Le petit oiseau fuit
jusqu’au printemps.
n’a ni souci ni travail.
Pourquoi se fatiguer
à tresser un lit solide et durable ?
La nuit est longue,
une brindille suffit pour dormir.
Se lève le soleil en sa gloire,
le petit oiseau oit la voix divine.
Il secoue ses plumes
et gazouille son air.
Passé le printemps,
splendeur des saisons,
vient l’été et ses ardeurs ;
Puis le tardif automne,
ses brouillards et ses froids.
Pauvres humains, tristes humains !
Vers de lointaines rives,
en de doux climats,
au-delà de l’eau bleue,
Le petit oiseau fuit
jusqu’au printemps.
Le haïku de l'oiseau de Pouchkine
Aux temps chauds l'oiseau
chante il fuit à tire-d'ailes
aux temps froids d'hiver
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