Elle convient bien à l'hiver dont le Québec vient à peine de commencer à émerger même si l'auteur n'en connaît rien.
Les personnages dont on aperçoit les têtes sont presque noyés dans la neige.
Noyés, non !
Enterrés plutôt car la neige doit exercer une forte pression sur leur corps, si on les laisse ainsi un certain temps, ils vont périr.
C'est donc un supplice qu'ils subissent.
Si on me demandait mon avis sur des personnes à qui infliger ce supplice, je n'hésiterais pas longtemps et, si j'arrivais à surmonter les liens qui emprisonnent mon esprit, les neuf têtes que l'on voit seraient remplacées par d'autres, beaucoup plus nombreuses et qui couvriraient la neige jusqu'à l'horizon.
Je vous laisse imaginer à qui elles appartiendraient (vous avez même le droit d'y glisser les têtes qui vous conviennent, cela ne causera aucun dommage à leurs possesseurs !)
J'intitulerais la nouvelle œuvre « Supplice » !
Mais ce ne serait jamais qu'une œuvre, hélas, pas la réalité !
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