C'est sans doute à l'exposition Peter Doig (« Nulle terre étrangère », beau titre !) que l'on doit cette coloration des colonnes ioniques du plus ancien pavillon du Musée des beaux-arts de Montréal : c'est en tous cas une retombée très positive de cette exposition, qui ne m'a pas, pour sa part, beaucoup édifié.
Je me suis demandé ce qu'avaient reçu en échange de leurs trop bons mots tous ces chroniqueurs montréalais qui en avaient parlé, ou interviewé le peintre et, ainsi, attiré le chaland (et les visiteurs lointains comme moi, et les personnes qui m'accompagnaient dont je ne dirai pas le nom et qui n'ont pas été édifiées non plus par les œuvres de Doig).
Voici un zoom sur ce qui m'a le plus intéressé à l'occasion de cette exposition :
Et voici les colonnes doriques de la National Gallery of Scotland qu'on avait colorées d'une manière un peu différente à l'occasion de la présentation de la même exposition (Doig est un enfant de l'Écosse) :
Je me suis demandé ce qu'avaient reçu en échange de leurs trop bons mots tous ces chroniqueurs montréalais qui en avaient parlé, ou interviewé le peintre et, ainsi, attiré le chaland (et les visiteurs lointains comme moi, et les personnes qui m'accompagnaient dont je ne dirai pas le nom et qui n'ont pas été édifiées non plus par les œuvres de Doig).
Voici un zoom sur ce qui m'a le plus intéressé à l'occasion de cette exposition :
Et voici les colonnes doriques de la National Gallery of Scotland qu'on avait colorées d'une manière un peu différente à l'occasion de la présentation de la même exposition (Doig est un enfant de l'Écosse) :
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