Elle n'est pas nue comme le sont habituellement les déesses mais la taille qu'on lui a donnée (le double de celle des humains) fait penser qu'elle est une déesse.
Sa coiffure et les plis de sa robe indique qu'elle est une déesse de la mer.
Ne serions-nous pas devant Amphitrite, l'épouse de Poséidon ?
Cela ne serait pas étonnant !
La photo est de Natasha Sych.
Voici un poème où Amphitrite apparaît. d'un poète maintenant oublié, Albert Samain, mais dont un poème (je ne sais plus lequel) faisait partie de la première anthologie que j'ai possédée :
Le Cortège d’Amphitrite
Le cortège léger glisse aux plaines liquides ;
Une rose lueur teinte le flot changeant ;
C’est la jeune Amphitrite, en sa conque
[d’argent,
Qui passe sur la mer avec ses Néréides.
L’archipel a surgi vers les lointains limpides…
Les Tritons font sonner leurs trompes en
[nageant ;
Et de leurs bras la nymphe en vain se
[dégageant,
Sent ses beaux seins piqués par leurs barbes
[squalides.
Les vagues doucement ondulent… L’air est pur.
Amphitrite sourit, toute nue, à l’azur…
Son voile de safran palpite comme une aile,
Et la brise ramène en avant ses cheveux,
Pendant que les dauphins de leurs mufles
[hideux,
Font jaillir l’eau marine en gerbes devant elle.
Sa coiffure et les plis de sa robe indique qu'elle est une déesse de la mer.
Ne serions-nous pas devant Amphitrite, l'épouse de Poséidon ?
Cela ne serait pas étonnant !
La photo est de Natasha Sych.
Voici un poème où Amphitrite apparaît. d'un poète maintenant oublié, Albert Samain, mais dont un poème (je ne sais plus lequel) faisait partie de la première anthologie que j'ai possédée :
Le Cortège d’Amphitrite
Le cortège léger glisse aux plaines liquides ;
Une rose lueur teinte le flot changeant ;
C’est la jeune Amphitrite, en sa conque
[d’argent,
Qui passe sur la mer avec ses Néréides.
L’archipel a surgi vers les lointains limpides…
Les Tritons font sonner leurs trompes en
[nageant ;
Et de leurs bras la nymphe en vain se
[dégageant,
Sent ses beaux seins piqués par leurs barbes
[squalides.
Les vagues doucement ondulent… L’air est pur.
Amphitrite sourit, toute nue, à l’azur…
Son voile de safran palpite comme une aile,
Et la brise ramène en avant ses cheveux,
Pendant que les dauphins de leurs mufles
[hideux,
Font jaillir l’eau marine en gerbes devant elle.
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