Scène charmante, vous dites-vous, peut-être tirée des «Mille et une Nuits».
Des pêcheurs sur un frêle esquif rencontrant un grand monstre.
Regardez bien sur le zoom arrière présentant ce qui entoure cette petite scène et voyez ce qu'on peut faire avec une flaque d'eau et un lacet vert:
C'est ce qu'on pourrait appeler une heureuse métamorphose. Baudelaire écrivait, caractérisant ainsi -peut-être à son insu- tout art:
Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or
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