À l'époque de cette revue des Scouts de France (1939), si l'on prend au sérieux les révélations récentes sur les mœurs des membres du clergé, ce n'était pas les lèvres de la Vierge Marie qui se trouvaient ainsi près du pénis de ceux que représente ici le « petit Jésus », mais les lèvres des curés et autres prélats pervers qui, possédant les âmes en vertu des pouvoirs que leur donne sur les fidèles l'Église romaine, se croyaient aussi les maîtres du corps des enfants (comme de celui des femmes et des autres adultes) pour y prendre le plaisir qui, dans leur esprit tordu, leur était, de droit divin, dû.
À bas à jamais les pouvoirs cléricaux et les religions qui organisent ainsi la domination des âmes et des corps !
À bas à jamais les pouvoirs cléricaux et les religions qui organisent ainsi la domination des âmes et des corps !
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