La périlleuse route vers Amalfi que j'ai empruntée une fois et que je n'emprunterai jamais plus, peut-être parce que je ne retournerai pas, hélas, sur la Côte amalfitaine, ou peut-être parce que j'emprunterai plutôt le train, plus haut dans la montagne, pour y retourner, en même temps qu'à Pompéi ou Herculanum.
Sait-on !
Sait-on !
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