À l'époque où nous avons visité Saint-Tropez, c'était une destination à la mode, avec toutes les exagérations dans la nudité (à bord des yatchts, dans le port) et les bijoux clinquants du début des années soixante-dix, du moins en France où, contrairement à ce qui se passait en Amérique du nord, antre des hippies et autres enfants des fleurs, la nudité était soigneusement bronzée et les bijoux coûteux : c'était des fleurs de pierres et de métal plutôt que des marguerites et des pissenlits.
Ce qui m'y a le plus impressionné ?
Le cimetière marin, dont vous voyez une photo ci-dessus.
Je me doute pourquoi mais je préfère ne pas le dire.
Mais cette impression ne sera pas une raison pour retourner le revoir, car je serais obligé de revoir la ville par la même occasion, et je m'en sens incapable.
Ce qui m'y a le plus impressionné ?
Le cimetière marin, dont vous voyez une photo ci-dessus.
Je me doute pourquoi mais je préfère ne pas le dire.
Mais cette impression ne sera pas une raison pour retourner le revoir, car je serais obligé de revoir la ville par la même occasion, et je m'en sens incapable.
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