mardi 31 juillet 2018
La course du train de nuit
« La course du train de nuit », une toile de 1926 du peintre sicilien d'obédience futuriste, Pippo Rizzo, né à Corleone, comme tant de membres de la mafia, ce qu'il n'était pas.
Été d'enfer climatique et culturel
Crédit photo : Joseph Edelson/Agence France Presse
Et pas seulement au point de vue climatique !
Voir ceux, qui, comme nous, sont et ont été victimes d'une barbare tentative de génocide anglo-saxonne, prendre parti contre nous et non contre les véritables coupables, cela donne des froides chaleurs et donne lieu à des résolutions pour l'avenir.
lundi 30 juillet 2018
La vie perdue
On dirait qu'Emerson connaissait les services à la clientèle et, davantage encore, les services médicaux, où l'on perd sa vie à tenter de ne pas la perdre.
Cinéma art déco londonien
Crédit photo : Katie Lench
Voici les reliefs de gauche et de droite que vous apercevez au haut de celle-ci :
dimanche 29 juillet 2018
Plage montréalaise
Je ne sais pas si elle est aussi agréable qu'elle m'apparaît, ici, dans mon fauteuil, devant mon ordinateur, mais la vue de cette plage « harmonie en bleu et jaune », près de la tour de l'Horloge et devant le pont Jacques-Cartier, dans le Vieux-Port de Montréal, me plaît bien.
Mais de la vue à la chose ...
Mais de la vue à la chose ...
samedi 28 juillet 2018
vendredi 27 juillet 2018
jeudi 26 juillet 2018
mercredi 25 juillet 2018
mardi 24 juillet 2018
Pirolle en colère
On dirait que cette pirolle bleu de Taïwan m'attribue le temps infernal qui nous accable ces jours-ci, interminablement.
L'air fâché de ses yeux me donne presque l'envie de fuir dans un pays froid !
Mais en reste-t-il ?
Où sont-ils ?
M'y poursuivrait-elle ?
lundi 23 juillet 2018
Une Église pour les autres, non pour elle-même
C'est dans cette église, de l'Église Unie du Canada, de la rue Sainte-Catherine Est, à Montréal, qu'officie une pasteure d'origine chilienne, Rosa Elena, qui a succédé à son mari, également chilien.
Il y a aujourd'hui, dans le journal « Le Devoir », un article, intitulé « Les Révolutionnaires de l'Église Unie », et portant sur l'apostolat de ces deux pasteurs, que vous pouvez lire ici.
Un passage de l'article m'a particulièrement édifié :
Nous ne sommes pas religieux », lance le plus naturellement du monde Gonzalo Cruz, le mari de Rosa Elena et pasteur retraité à qui elle a succédé. « Je sais, la phrase est forte, mais la religion de Jésus a été d’aider les autres pour que les gens soient heureux, les petits comme les faibles. Ce n’étaient pas les rites, les dogmes, les obligations et tous les abus. Tout ça n’existe pas dans l’Évangile. »
Si je n'étais pas mécréant, je serais protestant de cette paroisse-là car je sais que cette église n'est pas l'antre doré des successeurs de Pierre, dont le crucifiement tête en bas, un révélateur « acte manqué », n'est pas sans signification à propos des agissements de l'église qu'il a fondée et prétendue issue de Jésus-Christ, agissements qui vont à l'encontre de l'Évangile (je l'ai dit ailleurs), comme le décrit l'ancien pasteur Cruz dans le passage de l'article que je viens de citer.
Il y a aujourd'hui, dans le journal « Le Devoir », un article, intitulé « Les Révolutionnaires de l'Église Unie », et portant sur l'apostolat de ces deux pasteurs, que vous pouvez lire ici.
Un passage de l'article m'a particulièrement édifié :
Nous ne sommes pas religieux », lance le plus naturellement du monde Gonzalo Cruz, le mari de Rosa Elena et pasteur retraité à qui elle a succédé. « Je sais, la phrase est forte, mais la religion de Jésus a été d’aider les autres pour que les gens soient heureux, les petits comme les faibles. Ce n’étaient pas les rites, les dogmes, les obligations et tous les abus. Tout ça n’existe pas dans l’Évangile. »
Si je n'étais pas mécréant, je serais protestant de cette paroisse-là car je sais que cette église n'est pas l'antre doré des successeurs de Pierre, dont le crucifiement tête en bas, un révélateur « acte manqué », n'est pas sans signification à propos des agissements de l'église qu'il a fondée et prétendue issue de Jésus-Christ, agissements qui vont à l'encontre de l'Évangile (je l'ai dit ailleurs), comme le décrit l'ancien pasteur Cruz dans le passage de l'article que je viens de citer.
dimanche 22 juillet 2018
Voyages, voyages, il y a longtemps déjà
Une vue rapprochée du rocher Percé, que l'on pourrait rebaptiser « rocher Doré » sous cette lumière.
On voit bien l'énorme échancrure laissée par l'écroulement de la deuxième arche, en 1845.
Un article du journal « Le Soleil » de Québec (ici) sur la rénovation de l'auberge Le Coin du banc m'a permis de retrouver cette photo, au moyen de Google.
Et de retrouver le souvenir de l'auberge, où nous avions dîné, ma famille et moi, lors de ce tour de la Gaspésie effectué il y a 35 ans avec notre fils de 7 ou 8 ans, entre deux voyages à Orlando (DisneyWorld, et particulièrement EPCOT Center et le World Showcase), Tampa et la côte ouest de la Floride, sur le golfe du Mexique, à St. Petersburg Beach et à Sarasota, notamment, et du nord de la côte atlantique, Daytona Beach et Saint Augustine, par exemple.
C'est lors de ces voyages, aussi bien en Gaspésie qu'en Floride, que notre fils a appris à toujours commander ce qui lui plaît au restaurant, c'est-à-dire les plats les plus chers.
J'ai retrouvé une photo de la salle à manger de l'auberge :
Ces photos ne sont pas les nôtres et de datent peut-être pas de l'époque de notre voyage : comment retrouver nos photos argentiques ?
Car les murs de la salle à manger comportaient davantage de tableaux et d'œuvres d'art que la propriétaire collectionnait.
Selon nos souvenirs, la cuisine était savoureuse.
On voit bien l'énorme échancrure laissée par l'écroulement de la deuxième arche, en 1845.
Un article du journal « Le Soleil » de Québec (ici) sur la rénovation de l'auberge Le Coin du banc m'a permis de retrouver cette photo, au moyen de Google.
Et de retrouver le souvenir de l'auberge, où nous avions dîné, ma famille et moi, lors de ce tour de la Gaspésie effectué il y a 35 ans avec notre fils de 7 ou 8 ans, entre deux voyages à Orlando (DisneyWorld, et particulièrement EPCOT Center et le World Showcase), Tampa et la côte ouest de la Floride, sur le golfe du Mexique, à St. Petersburg Beach et à Sarasota, notamment, et du nord de la côte atlantique, Daytona Beach et Saint Augustine, par exemple.
C'est lors de ces voyages, aussi bien en Gaspésie qu'en Floride, que notre fils a appris à toujours commander ce qui lui plaît au restaurant, c'est-à-dire les plats les plus chers.
J'ai retrouvé une photo de la salle à manger de l'auberge :
Ces photos ne sont pas les nôtres et de datent peut-être pas de l'époque de notre voyage : comment retrouver nos photos argentiques ?
Car les murs de la salle à manger comportaient davantage de tableaux et d'œuvres d'art que la propriétaire collectionnait.
Selon nos souvenirs, la cuisine était savoureuse.
samedi 21 juillet 2018
Appropriation culinaire
Me verrai-je houspillé pour avoir mangé un « poké bol » de saumon à la confection duquel aucun Hawaïen n'a participé ?
Surtout qu'il était accompagné de quelques morceaux d'une baguette à la confection de laquelle aucun Français n'a pris part !
Aurai-je des remords ou serai-je indifférent d'avoir ainsi participé à une opération d'appropriation culinaire ?
Devinez !
Surtout qu'il était accompagné de quelques morceaux d'une baguette à la confection de laquelle aucun Français n'a pris part !
Aurai-je des remords ou serai-je indifférent d'avoir ainsi participé à une opération d'appropriation culinaire ?
Devinez !
vendredi 20 juillet 2018
Une involontaire prophétie
Quelqu'un demandait, dans un site français consacré à l'histoire, pourquoi le Christ sur la croix était représenté la tête en bas sur la façade de cette église (ou d'une autre, je ne sais : ici vous voyez celle de l'église Saint-Pierre-de-la-Tour-d'Aulnay).
La réponse est que ce n'est pas Jésus-Christ qui est représenté mais saint Pierre, qui avait demandé d'être crucifié ainsi.
On nous disait quand j'étais jeune (et cocu-croyant) que c'était par humilité qu'il avait fait cette demande car il ne voulait pas être crucifié dans la même position que Jésus-Christ.
Mais en y réfléchissant j'ai pensé qu'il avait ainsi révélé, de manière quasi prophétique (une sorte d' « acte manqué »), ce que serait la religion qu'il avait fondée en la prétendant issue de Jésus : l'inverse de ce qu'elle devrait être, une monarchie plus qu'impériale, favorisant les gens qui ressemblent à ceux-là qui la dirigent, les rois, les grands, les riches, les politiciens, les financiers, etc.
Comme certains l'affirmaient dans les commentaires qui suivaient cette question, cette crucifixion inversée est le signe du Malin, au service de qui œuvrent les églises chrétiennes.
Et si vous connaissez un peu les évangiles, vous savez comme moi, que cette demande n'était pas la première trahison de Simon, dit Pierre, à l'égard de Jésus.
La réponse est que ce n'est pas Jésus-Christ qui est représenté mais saint Pierre, qui avait demandé d'être crucifié ainsi.
On nous disait quand j'étais jeune (et cocu-croyant) que c'était par humilité qu'il avait fait cette demande car il ne voulait pas être crucifié dans la même position que Jésus-Christ.
Mais en y réfléchissant j'ai pensé qu'il avait ainsi révélé, de manière quasi prophétique (une sorte d' « acte manqué »), ce que serait la religion qu'il avait fondée en la prétendant issue de Jésus : l'inverse de ce qu'elle devrait être, une monarchie plus qu'impériale, favorisant les gens qui ressemblent à ceux-là qui la dirigent, les rois, les grands, les riches, les politiciens, les financiers, etc.
Comme certains l'affirmaient dans les commentaires qui suivaient cette question, cette crucifixion inversée est le signe du Malin, au service de qui œuvrent les églises chrétiennes.
Et si vous connaissez un peu les évangiles, vous savez comme moi, que cette demande n'était pas la première trahison de Simon, dit Pierre, à l'égard de Jésus.
jeudi 19 juillet 2018
Un énorme béluga dans le ciel
Il a une bonne bouille ce nouvel avion cargo appelé « Béluga XL » d'Airbus, ne trouvez-vous pas ?
Il rappelle ses modèles qui folâtrent à l'embouchure du fjord Saguenay, à Tadoussac.
mercredi 18 juillet 2018
Londres la bleue
Crédit photo : John Warburton Lee/hemis.fr
Cette photo, avec ses bleus éblouissants, donne une idée extrêmement avantageuse de Londres et du bâtiment à sommet ovoïde que les Londoniens appellent le « Gherkin ».
Ayant déjà parcouru à pied ce quartier, je suis sûr que la réalité est moins belle.
Mais la photo me donne nonobstant envie de m'envoler vers la capitale anglaise.
Thésée et le Minotaure
C'est une toile de Michael Leonard datant de 1969 et intitulée « Thésée et le Minotaure ».
Alors qu'habituellement les œuvres représentant ces deux protagonistes les montrent se combattant, cette toile les montre comme des copains, si je puis dire.
Disons des boxeurs avant un combat loyal.
Peut-être se ressemblaient-ils, en effet, ces deux protagonistes, et peut-être auraient-ils pu s'entendre !
Et profiter de la situation ...
Dans la légende, le Minotaure était ce qu'on pourrait appeler le méchant et Thésée le bon, mais Thésée, les autres légendes le concernant en font foi, n'était pas un « bon », même si les Athéniens le considéraient comme un héros : il a, en effet, abandonné Ariane, celle qui, avec le fil qui porte son nom, l'avait aidé à se retrouver dans le labyrinthe où était enfermé le Minotaure ; il a causé la mort de son père, Égée, par sa négligence ; et il a voué, par jalousie, son fils Hippolyte à la mort.
Bref, rien de sympathique, chez lui.
Si on ajoute que le couple qu'il forme avec le Minotaure est sans doute à l'origine mythique de la corrida, dont notre guide Francesca, à Ronda, comparaît la pratique à celle qui a cours dans les abattoirs, on pourrait dire qu'il est absolument antipathique.
Contrairement à l'image que la toile de Leonard donne de lui et de son copain.
Alors qu'habituellement les œuvres représentant ces deux protagonistes les montrent se combattant, cette toile les montre comme des copains, si je puis dire.
Disons des boxeurs avant un combat loyal.
Peut-être se ressemblaient-ils, en effet, ces deux protagonistes, et peut-être auraient-ils pu s'entendre !
Et profiter de la situation ...
Dans la légende, le Minotaure était ce qu'on pourrait appeler le méchant et Thésée le bon, mais Thésée, les autres légendes le concernant en font foi, n'était pas un « bon », même si les Athéniens le considéraient comme un héros : il a, en effet, abandonné Ariane, celle qui, avec le fil qui porte son nom, l'avait aidé à se retrouver dans le labyrinthe où était enfermé le Minotaure ; il a causé la mort de son père, Égée, par sa négligence ; et il a voué, par jalousie, son fils Hippolyte à la mort.
Bref, rien de sympathique, chez lui.
Si on ajoute que le couple qu'il forme avec le Minotaure est sans doute à l'origine mythique de la corrida, dont notre guide Francesca, à Ronda, comparaît la pratique à celle qui a cours dans les abattoirs, on pourrait dire qu'il est absolument antipathique.
Contrairement à l'image que la toile de Leonard donne de lui et de son copain.
mardi 17 juillet 2018
Constellations nées d'un coup de feu différent du Big Bang
Ce sont les constellations que les auteurs de fusillades de masse des USA rêvent de voir éclater dans tout leur pays (dans les écoles, les églises, les universités, particulièrement) et, peut-être, sur toute la Terre.
Cette œuvre s'intitule « Constellations no 26 » et a été créée par Zhao Zhao, un artiste dont l'origine chinoise n'est pas sans conséquences sur les pratiques artistiques.
Cette œuvre s'intitule « Constellations no 26 » et a été créée par Zhao Zhao, un artiste dont l'origine chinoise n'est pas sans conséquences sur les pratiques artistiques.
lundi 16 juillet 2018
La pierre de Rosette
Sur la partie supérieure de la pierre de Rosette, voyez quelques-uns des hiéroglyphes qui ont été les premiers déchiffrés par Champollion, au cours des années 20 du 19e siècle (il y a bientôt 200 ans).
Dans une vidéo publiée récemment sur Facebook, le British Museum (où se trouve la pierre de Rosette) n'a pas mentionné une seule fois le nom de Champollion dans l'histoire qu'il raconte de la pierre et de son déchiffrement : cela est, à mon sens, d'une indignité et d'une petitesse que l'on pourrait qualifier de « trumpestes » !
Voici une photographie de la totalité de la pierre, avec, en haut, le texte en hiéroglyphes, au milie le texte en démotique, en bas, le texte en grec :
Dans une vidéo publiée récemment sur Facebook, le British Museum (où se trouve la pierre de Rosette) n'a pas mentionné une seule fois le nom de Champollion dans l'histoire qu'il raconte de la pierre et de son déchiffrement : cela est, à mon sens, d'une indignité et d'une petitesse que l'on pourrait qualifier de « trumpestes » !
Voici une photographie de la totalité de la pierre, avec, en haut, le texte en hiéroglyphes, au milie le texte en démotique, en bas, le texte en grec :
Marmites de l'enfer
Rien ne pouvait davantage me faire plaisir que cette image d'enluminure du « Livre de la Vigne nostre Seigneur » (vers 1450-1470) : on y voit bouillir dans la marmite de l'enfer les membres du clergé, du plus petit moine au pape !
Et penser que le feu est éternel !
Hélas, pure imagination !
Pure imagination, également, cette autre marmite, non représentée, où sont bouillis les rois et autres politiciens.
Voici les deux, pour nous faire plaisir, même seulement platoniquement :
Et penser que le feu est éternel !
Hélas, pure imagination !
Pure imagination, également, cette autre marmite, non représentée, où sont bouillis les rois et autres politiciens.
Voici les deux, pour nous faire plaisir, même seulement platoniquement :
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