C'est, à Postdam, la plaque que les descendants des réfugiés huguenots français ont dédiée, en 1885, à le Grand Électeur Frédéric-Guillaume de Prusse pour avoir accueilli, à la fin du 17e siècle, leurs ancêtres chassés de France par l'inénarrable Louis XIV, sa révocation de l'Édit de Nantes et les dragonnades de son sinistre ministre Louvois.
Ces Huguenots, si l'Église catholique française et son petit chien royal avaient permis leur émigration en Nouvelle-France (cette émigration était interdite), auraient assis l'empire universel de la langue française sur la planète et permis à la Nouvelle-France, non seulement de survivre, mais, vraisemblablement, d'occuper la position politique, économique et culturelle que les États-Unis occupent aujourd'hui : mais le flair politique ne semble pas ce qui caractérise les habitants du pays des ancêtres des Québécois !
Ces Huguenots, si l'Église catholique française et son petit chien royal avaient permis leur émigration en Nouvelle-France (cette émigration était interdite), auraient assis l'empire universel de la langue française sur la planète et permis à la Nouvelle-France, non seulement de survivre, mais, vraisemblablement, d'occuper la position politique, économique et culturelle que les États-Unis occupent aujourd'hui : mais le flair politique ne semble pas ce qui caractérise les habitants du pays des ancêtres des Québécois !
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