À force de recherches minutieuses sur les mosaïques primitives chrétiennes et sur les mosaïques byzantines, ainsi que sur les diverses descriptions que les premiers écrits chrétiens en ont fait, on est parvenu à reconstituer le visage du véritable fondateur du christianisme que vous voyez dans cette image, Paul de Tarse.
Non pas le fondateur du christianisme institutionnel, l'église chrétienne, dont le fondateur est l'empereur Constantin, mais le fondateur du christianisme comme vision du monde et comme religion.
Paul de Tarse, ce citoyen romain de langue grecque, originaire de l'Asie mineure, et de religion hébraïque, on le connaît mieux aujourd'hui sous le nom de saint Paul.
C'est lui, en effet, qui a eu l'idée, le premier ou l'un des premiers, de la divinité de Jésus le Galiléen et qui l'a proclamée dans les premiers écrits chrétiens sur lesquels se sont modelés tous les autres (les évangiles ont été écrits bien après ses « épîtres »).
À mon avis, en proclamant la divinité de Jésus, Paul de Tarse a détourné le christianisme de la charité et de l'entraide que les humains se devaient les uns les autres au profit d'un culte jaloux et luxueux à un Dieu en trois personnes, Pantocrator, le Yahvé hébreu triplé, en quoi se résume le christianisme historique dans toutes ses composantes jusqu'à aujourd'hui.
Alors que, fondamentalement, c'est vers cette charité qu'étaient dirigées les paroles de Jésus le Galiléen et non pas vers le culte.
En bon croyant juif, Paul de Tarse a préféré Dieu aux humains, ce qu'on voit bien, d'une part, dans le fonctionnement des églises chrétiennes, qui ne songent qu'à interdire, condamner, dominer et, par ailleurs, à enrichir et idolâtrer leurs prélats, et, d'autre part, dans les croyances et habitudes de leurs fidèles qui ne songent qu'à leur salut personnel dans une autre vie plutôt que de s'occuper, dans cette vie, de leurs sœurs et frères humains, plongés dans l'ignorance, la maladie, la pauvreté, le malheur, l'injustice, la haine, le racisme, l'homophobie, la solitude et que sais-je encore.
Non pas le fondateur du christianisme institutionnel, l'église chrétienne, dont le fondateur est l'empereur Constantin, mais le fondateur du christianisme comme vision du monde et comme religion.
Paul de Tarse, ce citoyen romain de langue grecque, originaire de l'Asie mineure, et de religion hébraïque, on le connaît mieux aujourd'hui sous le nom de saint Paul.
C'est lui, en effet, qui a eu l'idée, le premier ou l'un des premiers, de la divinité de Jésus le Galiléen et qui l'a proclamée dans les premiers écrits chrétiens sur lesquels se sont modelés tous les autres (les évangiles ont été écrits bien après ses « épîtres »).
À mon avis, en proclamant la divinité de Jésus, Paul de Tarse a détourné le christianisme de la charité et de l'entraide que les humains se devaient les uns les autres au profit d'un culte jaloux et luxueux à un Dieu en trois personnes, Pantocrator, le Yahvé hébreu triplé, en quoi se résume le christianisme historique dans toutes ses composantes jusqu'à aujourd'hui.
Alors que, fondamentalement, c'est vers cette charité qu'étaient dirigées les paroles de Jésus le Galiléen et non pas vers le culte.
En bon croyant juif, Paul de Tarse a préféré Dieu aux humains, ce qu'on voit bien, d'une part, dans le fonctionnement des églises chrétiennes, qui ne songent qu'à interdire, condamner, dominer et, par ailleurs, à enrichir et idolâtrer leurs prélats, et, d'autre part, dans les croyances et habitudes de leurs fidèles qui ne songent qu'à leur salut personnel dans une autre vie plutôt que de s'occuper, dans cette vie, de leurs sœurs et frères humains, plongés dans l'ignorance, la maladie, la pauvreté, le malheur, l'injustice, la haine, le racisme, l'homophobie, la solitude et que sais-je encore.
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