À la Renaissance, ces petits angelots, appelés « putti » (au pluriel, « putto » au singulier), étaient placés dans les angles du plafond pour indiquer que ce qui se passait dans la pièce était sous surveillance.
Surveillance divine, voulait-on faire croire (vous souvenez-vous, mes sœurs et frères, anciens croyants et anciens chrétiens, de cette croyance en la surveillance constante de Dieu qu'on inculquait aux petits chrétiens comme nous, dont on voulait refréner les tentations) ; ou surveillance réelle, si on était quelqu'un qui jouait un rôle important dans la cité ou l'État.
Aujourd'hui, vous savez ce qu'il en est de cette surveillance qu'on exerce de tous les horizons sur chacun d'entre nous.
Les « putti » sont devenus des monstres électroniques invisibles, ou presque !
Surveillance divine, voulait-on faire croire (vous souvenez-vous, mes sœurs et frères, anciens croyants et anciens chrétiens, de cette croyance en la surveillance constante de Dieu qu'on inculquait aux petits chrétiens comme nous, dont on voulait refréner les tentations) ; ou surveillance réelle, si on était quelqu'un qui jouait un rôle important dans la cité ou l'État.
Aujourd'hui, vous savez ce qu'il en est de cette surveillance qu'on exerce de tous les horizons sur chacun d'entre nous.
Les « putti » sont devenus des monstres électroniques invisibles, ou presque !
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