C'est ainsi que les philosophes de l'espèce fourmi parleront de la civilisation humaine quand celle-ci aura disparue, en même temps que tous les autres espèces de mammifères.
La réponse ne vient jamais ... (J'ai une théorie à ce sujet, vous vous en doutez !) D'où le proverbe « Aide-toi et le ciel t'aidera ! » Le ciel n'a pas besoin d'aider ceux qui s'aident eux-mêmes, tout en gardant, pour les croyants (pour eux seulement), tous les bénéfices de l'aide qu'il n'apporte pas !
Rédigé par un écologiste membre de vous savez quel parti (il y a toujours un parti de ce genre (ou plusieurs), quel que soit le pays qu'on habite) . Il y a même un poème, dans ce pamphlet qui a dû, lui aussi, être imprimé sur du papier :
De l'oiseau il prend la plume.
De la pieuvre l'encre. Et de l'arbre la cellulose.
On pourrait même, avec la commutation de deux vers et la suppression de deux mots, en faire un haïku intitulé « les larcins de l'écrivain » :
Ce tableau me semble exact, surtout pour le dernier terme de l'évolution de Dieu. La devise des États-Unis est « In God We Trust » (« En Dieu, nous avons confiance ») : le Dieu dont il est question dans cette devise est manifestement ce dernier terme :
D'ailleurs, c'est aussi en ce Dieu que ceux qui se proclament les fidèles de l'avant-dernier terme de ce tableau placent leur plus grande confiance, voire leur plus grand amour !
Ce superbe procédé hérité de Tacite, la suppression stylistique des mots « la gloire » après « contre », cette suppression du mot au contenu duquel elle est pourtant consacrée fait toute la beauté de cette phrase de Blaise Pascal. Ce croyant, hélas, que je ne devrais pas, pour cette raison, citer (mais qui a comme excuse d'avoir vécu avant Darwin), était l'ennemi des Jésuites et, par conséquent, du pape et du roi : c'est l'excuse que je mets de l'avant pour le faire. Lui, à la foi si profonde, qui ne sera pourtant jamais canonisé, contrairement à tous ces niais qui l'ont été (dont d'innombrables et sanguinaires Jésuites). Lui qui parle si vrai à propos des vains désirs de gloire de chacun, désirs de célébrité, dirions-nous aujourd'hui, et qu'il avoue humblement partager.
Un tableau « Sans titre » (2006), d'Hermann Nitsch, qui peint bien la semaine que la Terre vient de vivre. Ou plutôt, en y pensant bien, qui peint bien toutes les semaines que nous vivons depuis que l'humanité existe. Du sang, du sang, du sang ! Des fleuves de sang qui se déversent sur nous !
Sur cette page de couverture du « New Yorker » de décembre dernier, un couple étasunien se livrant, pour Noël, à sa deuxième activité favorite, l'achat d'armes et de munitions. En guise de cadeaux à leurs enfants, parents et amis, patrons et employés ! Qui en seront enchantés, n'en doutons pas ! Avec ces armes et munitions, tout ce beau monde pourra se livrer à sa première activité favorite, tirer sur ses compatriotes (ou les étrangers, ou les gens qui sont différents), voire se tirer les uns sur les autres ! Ah ! qu'ils seront heureux ! (Et nous aussi peut-être, puisqu'ils sont ainsi !)
Il s'agit, sans aucun doute pour moi, du bureau d'accueil de l'enfer. Il a pris la forme appropriée, celle de l'Islam. N'allez pas dans un pays où l'on rencontre ce type de bureau d'accueil : c'est l'enfer avant la mort !
« Il est toujours l'heure de ne rien faire ». Ce message du cadran solaire de Saint-Rémy-de-Provence me va parfaitement. Qu'il guide aussi chacun de vos pas ! Je vais de ce pas prendre un autre café.
Ce ne sont pas de ces beaux et fragiles parasols art déco, photographiés à Miami en 1930, dont nous avons besoin ces jours-ci à Arvida mais de je ne sais quelle énorme structure contre la neige qui, littéralement, nous écrase sous son poids d'obèse. La neige à Pâques, imaginez-vous donc ! La neige à Pâques ...
Voici un vitrail représentant Ponce Pilate se lavant les mains pour signifier qu'il dégage sa responsabilité dans la cause de Jésus de Nazareth (celle qui tient le récipient est peut-être sa femme, Claudia Procula). Vous saviez que les Églises orthodoxes ont une opinion plus favorable que les églises occidentales à propos de Ponce Pilate et de sa femme ? Certaines de ces églises ont canonisé Claudia Procula à cause de ce qu'elle a fait dire à son mari à propos de Jésus, lors de la comparution de celui-ci ( « Ne te mêles point de l'affaire de ce juste ; car aujourd'hui j'ai été très affectée dans un songe à cause de lui » Matthieu, 27, 19). L'Église copte d'Égypte et l'Église éthiopienne sont même allées plus loin car elles ont canonisé Pilate. Ces églises saluent Pilate qui s'est lavé les mains pour montrer qu'il était innocent du sang répandu de Jésus-Christ (voir document en anglais ici).
C'est un Christ russe visible dans la cathédrale de la Dormition à Moscou, au Kremlin, là où on couronnait les tsars, Il date du 14e siècle. Il annonce toute l'histoire russe, toute l'histoire des Russes. Il est prémonitoire. On le désigne habituellement comme « Le Sauveur aux yeux de feu ». Effectivement il a des yeux meurtriers comme tous les dirigeants russes, immémorialement, tsars ou secrétaires généraux du parti. Il a les yeux cruels de Staline et de ceux qui lui obéissaient. Il a les yeux de tous les Russes qui ont exercé ne fût-ce qu'une parcelle de pouvoir en Russie ou dans une quelconque partie de la Terre sous la domination russe ou soviétique. Mais ces yeux de feu sont aussi des yeux d'ivrogne, de buveur de vodka, regardez-les bien. Les yeux d'un dictateur fou et saoul. C'est vraiment un Christ russe ! Peut-être le Christ tel que l'ont fait, de manière plus dissimulée ailleurs, les croyants chrétiens !
C'est l' « Empire State Building » vu du ciel. On a rarement cette impression de puissance même quand on est presque au sommet du célèbre gratte-ciel comme je l'ai été un jour. Mais ce que cette photo permet de constater c'est que ce type de bâtiment ne vise pas seulement à « gratter » le ciel, comme le dit leur nom traduit de l'anglais, mais à le menacer, comme une flèche géante, sinon à le prendre d'assaut. Les pays musulmans qui en ont construit ou en construisent de plus hauts, croyant simplement se doter de sexes plus imposants que ceux des « infidèles », pour mieux marquer leur supériorité sur eux, devraient s'aviser que leurs gratte-ciels menacent, en réalité, Allah, leur dieu, et que celui-ci pourrait se venger d'eux, comme le Yahvé des Juifs s'est vengé des humains lorsque ceux-ci entreprirent d'édifier la tour de Babel. On devrait craindre Dieu quand on est croyant !
On a intitulé cette photo « Catching a Breath » (« Reprendre son souffle »). Je ne sais pas si c'est le photographe (Peter Funch) qui a baptisé ainsi sa photo mais moi je l'aurais plutôt intitulée « Cascade de bâillements » et me serais demandé si c'est à l'occasion d'un discours de Donald Trump que tous ces gens ont bâillé. Tout en sachant fort bien que les discours de ce vulgaire blond artificiel méritent davantage de violence qu'un indifférent bâillement.
« Suivez-moi, dit la chaussure à deux talons, la dame qui me porte a quelque chose de bien plus beau encore à vous montrer ! Je n'en suis que la métaphore, pour ma part ! » Ce soulier fait partie d'une exposition sur l'histoire de la chaussure française tenue présentement à Hong Kong (voir ici).
Cette photo pourrait s'intituler « Les humains d'aujourd'hui ». L'utilisation que les humains font de la nature depuis les premières décennies du 19e siècle, est, en effet, suicidaire, et l'est de plus en plus au fur et à mesure que les décennies s'entassent les unes sur les autres. La nature devra bientôt se débarrasser de l'humanité pour survivre, et les humains lui viennent en aide dans le nécessaire accomplissement de cette tâche. L'arbre deviendra bientôt assez grand pour que l'humanité puisse s'y pendre.
C'est Syracuse la nuit ! Cette Syracuse même qu'Henri Salvador (son compositeur avec Bernard Dimey) aimerait voir dans la chanson qui porte le nom de la ville grecque et de son héritière sicilienne. Vous voulez l'entendre ?
Syracuse
J'aimerais tant voir Syracuse L'île de Pâques et Kairouan Et les grands oiseaux qui s'amusent À glisser l'aile sous le vent Voir les jardins de Babylone Et le palais du Grand Lama Rêver des amants de Vérone Au sommet du Fuji Yama Voir le pays du matin calme Aller pêcher au cormoran Et m'enivrer de vin de palme En écoutant chanter le vent Avant que ma jeunesse s'use Et que mes printemps soient partis J'aimerais tant voir Syracuse Pour m'en souvenir à Paris
Avis : aucune musique n'est programmée. Réduisez le volume de votre appareil pour ne pas entendre une musique non programmée.
Je suis un professeur de littérature à la retraite qui désire faire part de ce qu'il aime ou n'aime pas en essayant, mais sans trop d'espoir, d'imiter Michel de Montaigne en plus bref.
« Je donne mon avis non comme bon mais comme mien. » Michel de Montaigne
Jack à Isola Bella, Lago Maggiore, Italia, sans ses Tifosi mais avec des lunettes de mafioso. Quel coup peut-il bien préparer ou parer en jetant ce regard oblique?
«Modération» des commentaires
Veuillez noter que les commentaires sont dorénavant (depuis le 23 octobre 2009) sujets à l'approbation du responsable du blogue, trop d'anonymat y ayant sévi récemment. En général, les commentaires signés «Anonyme» ne seront publiés que s'ils présentent un intérêt (appréciation subjective incontournable). S'ils comportent trop de fautes d'orthographe (je dis bien «trop»), ils ne seront pas publiés (peut-être simplement résumés et publiés ainsi s'ils présentent un intérêt). Les commentaires insultants à l'égard de l'auteur du blogue ne seront en aucun cas publiés.
Il est probable qu'il n'y a pas de Dieu. S'il existe, faites l'hypothèse que c'est un être bon, qu'il vous aime et ne vous fera pas de mal. S'il existe ce n'est pas le Dieu des religions. Ne prêtez foi à aucune religion car elles ont été fondées par des bonimenteurs et toutes sont aux mains de profiteurs. Si Dieu existe, c'est un sacrilège et un crime que de lui attribuer des paroles, pensées, volontés, commandements et désirs humains comme le font les religions soi-disant «révélées» et même les autres. Dieu, s'il existe, n'est pas une marionnette que certains hommes pourraient manipuler et faire parler à leur guise. Ne vous inquiétez plus, rendez les autres heureux s'ils vous le permettent et vivez le mieux possible votre vie car c'est probablement la seule que vous aurez. «Il est certaine façon d'adorer Dieu qui me fait l'effet d'un blasphème. Il est certaine façon de nier Dieu qui rejoint l'adoration.» André Gide
Nombre total de pages vues
Un blogue québécois
NOTA BENE
Les mots soulignés sont des liens. Pour que la destination de ces liens s'ouvre dans une autre fenêtre, cliquez le bouton de la souris en appuyant sur la touche «CTRL» du clavier et dans le menu qui surgira cliquez «Ouvrir le lien dans une nouvelle fenêtre». Ou appuyez sur le bouton droit d'une souris à deux boutons et cliquez la même commande du menu qui surgira.
Poémier
Ci-dessous un module de création aléatoire de poèmes de trois vers intitulé Poémier. Paul Valéry écrivait que «[l]es belles œuvres sont filles de leur forme, -qui naît avant elles». Ce module et le suivant (Poémier Deux) sont des mises en œuvre de cet aphorisme. Les poèmes créés dans le module ci-dessous épousent un peu la forme du haïku, poème japonais de 17 syllabes inventé au 17e siècle. Ce module de création a été programmé par Denise Pelletier (surtout) et par moi-même. Si vous cliquez le bouton intitulé «Créer un tercet» un poème de 3 lignes et de 17 syllabes apparaîtra dans l'espace blanc situé au-dessus du bouton. Vous pouvez créer autant de poèmes que vous le désirez. Pour les conserver, sélectionnez-les, copiez-les et collez-les dans votre traitement de texte ou votre calepin. Le hasard, vous et moi en sommes les auteurs. Certains sont à conserver, d'autres (la plupart mais c'est ainsi le hasard) à effacer impitoyablement. Ce programme en est à sa première version. Puis-je vous demander de me signaler tout éventuel dysfonctionnement? Vous pouvez m'adresser un courriel en cliquant ici.
Poémier Deux
Ci-dessous un autre module de création aléatoire de poèmes intitulé Poémier Deux. Les poèmes créés dans ce module ont un nombre variable de vers plutôt que trois comme dans Poémier. Ce module de création a été programmé par Denise Pelletier. Si vous cliquez le bouton intitulé «Créer un poème» un poème comportant un nombre variable de lignes apparaîtra dans l'espace blanc situé au-dessus du bouton. Chaque ligne est un vers libre, c'est-à-dire qu'elle comporte un nombre variable de syllabes. Vous pouvez créer autant de poèmes que vous le désirez. Pour les conserver, faites comme dans Poémier. Si vous constatez un quelconque dysfonctionnement suivez les instructions données dans Poémier (m'adresser un courriel en cliquant ici).
Jeu
Un petit jeu pour se divertir: pour gagner il faut obtenir trois chiffres identiques. Cliquer sur le bouton intitulé«Tirer les numéros» pour jouer.
Calendrier continental (et québécois) ou calendrier mécréant, raison pour laquelle il me plaît:
___________________
Visiteurs
Le 300 000ième visiteur s'est présenté sur ce site le 5 avril 2012 à 17h09, heure du Québec.
_____________________________
Le 333 333e visiteur s'est présenté sur ce site le 31 mai 2012 vers 15h.
_____________________________
Le 444 444e visiteur s'est présenté sur ce site au cours de l'après-midi du 13 décembre 2012.
_____________________________
Le 555 555e visiteur s'est présenté sur ce site au cours de la nuit du 7 août 2013.
_____________________________
Le 666 666e visiteur s'est présenté sur ce site le 26 mars 2014 à 10h28.
_____________________________
Le 777 777e visiteur s'est présenté sur ce site le 1er novembre 2014 entre midi et midi trente.
_____________________________
Le 888 888e visiteur s'est présenté sur ce site le 20 octobre 2015 entre minuit et 6h.
_____________________________
Le 999 999e visiteur s'est présenté sur ce site le 1er décembre 2016 entre midi et 16h.
Et le millionième visiteur une seconde plus tard.
En commençant ce blogue, en décembre 2007, c'est l'objectif que je m'étais fixé, 1 000 000 de visiteurs.
Je suis maintenant libre !
_____________________________