C'est une vue satellitaire de l'Etna, la tache ovale blanche au centre.
Le volcan est plus beau ainsi qu'à ras de terre, quand la chaleur qui se dégage du sol qui l'entoure menace de fondre les semelles de vos chaussures (aventure arrivée à un ami) et que le vent qui souffle incessamment vous envoie des escarbilles et de la poussière noire dans les yeux (aventure arrivée à moi qui avais des lentilles de contact à l'époque).
À gauche on voit le détroit de Messine où l'on passe de Charybde en Scylla, avec le bout de la botte italienne en haut et la pointe extrême de la Sicile en bas.
La grotte de Scylla est du côté italien, et le gouffre de Charybde du côté sicilien.
Les nuages dissimulent les villes, Catane, Taormina, Giardini-Naxos, etc.
De la montagne s'échappent les fumées des forges d'Héphaïstos, où l'on doit fabriquer de nos jours non seulement les armes des dieux comme jadis mais celles de tous les humains puisque ceux-ci, dans le mal, égalent maintenant les dieux.
P. S. Ma femme a déjà parlé de notre visite à l'Etna dans son blogue, ici précisément. Il me semble que le rôle qu'elle m'y fait jouer n'est pas très glorieux mais, disons, relativement réaliste.
Le volcan est plus beau ainsi qu'à ras de terre, quand la chaleur qui se dégage du sol qui l'entoure menace de fondre les semelles de vos chaussures (aventure arrivée à un ami) et que le vent qui souffle incessamment vous envoie des escarbilles et de la poussière noire dans les yeux (aventure arrivée à moi qui avais des lentilles de contact à l'époque).
À gauche on voit le détroit de Messine où l'on passe de Charybde en Scylla, avec le bout de la botte italienne en haut et la pointe extrême de la Sicile en bas.
La grotte de Scylla est du côté italien, et le gouffre de Charybde du côté sicilien.
Les nuages dissimulent les villes, Catane, Taormina, Giardini-Naxos, etc.
De la montagne s'échappent les fumées des forges d'Héphaïstos, où l'on doit fabriquer de nos jours non seulement les armes des dieux comme jadis mais celles de tous les humains puisque ceux-ci, dans le mal, égalent maintenant les dieux.
P. S. Ma femme a déjà parlé de notre visite à l'Etna dans son blogue, ici précisément. Il me semble que le rôle qu'elle m'y fait jouer n'est pas très glorieux mais, disons, relativement réaliste.
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