Je vous ai déjà présenté d'autres photos de cet Hitler priant intitulé « Him », une œuvre de Maurizio Cattelan.
Je vous la présente à nouveau car j'ai lu récemment que dans « Mein Kampf », si on le lit bien entre les lignes (ce que je n'ai évidemment pas fait), Hitler se pense comme une sorte d'héritier de Jésus-Christ tel que les Églises chrétiennes l'ont fait, c'est-à-dire une victime des Juifs, peuple déicide et pervers (ces Églises n'ont que très récemment changé leur discours à ce sujet, peut-être pas toutes).
Ce serait une des raisons (sinon la raison) pour laquelle il désirait que ceux-ci « soient effacés de la surface de la terre », selon l'expression d'Efraim Zuroff, un dirigeant du Centre Simon-Wiesenthal.
Hitler désirait éviter de subir le sort de celui dont il se croyait l'héritier, sinon la réincarnation, c'est-à-dire être tué par les Juifs toujours déicides (comme on le lui avait enseigné dans les écoles catholiques qu'il avait fréquentées en Autriche -on lui aurait enseigné la même chose dans les écoles catholiques ou protestantes du Québec et du Canada et tutti quanti).
Les massacres qu'il a organisés l'ont été dans cette perspective.
Maurizio Cattelan présente ici le dictateur égaré dans l'attitude du Fils qui demande à son Père de ne pas l'abandonner.
On ne soulignera jamais assez tous les dommages qu'a causés le discours tenu par les Églises chrétiennes contre les Juifs pendant deux mille ans : les massacres nazis -et les pogroms slaves, et la haine meurtrière d'un grand nombre d'Occidentaux (voir l'Affaire Dreyfus en France) à l'égard des Juifs- comptent parmi ces dommages.
Et ceux-ci sont directement ou indirectement imputables à ce discours chrétien assassin.
Je vous la présente à nouveau car j'ai lu récemment que dans « Mein Kampf », si on le lit bien entre les lignes (ce que je n'ai évidemment pas fait), Hitler se pense comme une sorte d'héritier de Jésus-Christ tel que les Églises chrétiennes l'ont fait, c'est-à-dire une victime des Juifs, peuple déicide et pervers (ces Églises n'ont que très récemment changé leur discours à ce sujet, peut-être pas toutes).
Ce serait une des raisons (sinon la raison) pour laquelle il désirait que ceux-ci « soient effacés de la surface de la terre », selon l'expression d'Efraim Zuroff, un dirigeant du Centre Simon-Wiesenthal.
Hitler désirait éviter de subir le sort de celui dont il se croyait l'héritier, sinon la réincarnation, c'est-à-dire être tué par les Juifs toujours déicides (comme on le lui avait enseigné dans les écoles catholiques qu'il avait fréquentées en Autriche -on lui aurait enseigné la même chose dans les écoles catholiques ou protestantes du Québec et du Canada et tutti quanti).
Les massacres qu'il a organisés l'ont été dans cette perspective.
Maurizio Cattelan présente ici le dictateur égaré dans l'attitude du Fils qui demande à son Père de ne pas l'abandonner.
On ne soulignera jamais assez tous les dommages qu'a causés le discours tenu par les Églises chrétiennes contre les Juifs pendant deux mille ans : les massacres nazis -et les pogroms slaves, et la haine meurtrière d'un grand nombre d'Occidentaux (voir l'Affaire Dreyfus en France) à l'égard des Juifs- comptent parmi ces dommages.
Et ceux-ci sont directement ou indirectement imputables à ce discours chrétien assassin.
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