Température du soir à Saguenay: 5° C
Veille des calendes de mai (lundi, jour de la Lune), année 2765 de la fondation de Rome, selon le calendrier romain.
Vous voyez ce chat noir au premier plan, c'est une autre réincarnation de notre chatte Zoé coulant des jours paisibles à Oia sur l'île de Santorin (Θήρα en grec), sans doute l'un des paradis des chats et qui mériterait d'être l'un des paradis des humains si ceux-ci méritaient, comme les chats, une autre vie après la mort.
Mais ils sont trop méchants et ils meurent d'une mort éternelle, contrairement aux chats.
Notre bienheureuse Zoé vit là pour toujours depuis 1998 en compagnie d'éphémères Grecs qui partagent avec elle, pour très peu de temps, le bonheur d'y vivre, mais à son service.
La vérité n'est pas dans ce qu'on appelle improprement et frauduleusement les «Écritures saintes*» ou les «Livres sacrés*».
La vérité se trouve dans la bouche des enfants non dénaturés de la Nature.
* Ni d'ailleurs dans ces écrits philosophiques irrespectueux et volontaristes, comme ceux de Karl Marx par exemple, qui asservissent les ressources limitées de la Terre aux désirs sans frein des humains et qui ont fait de la Russie, par exemple, un espace invivable tant il est pollué.
Je crois davantage en l'avenir de ce plastique flexible comme support de journaux, magazines et livres (il est appelé en anglais «ePaper», peut-être bientôt en français «ePapier» ou «PapierE», pour «papier électronique», je préfère le second) qu'en celui des tablettes comme l'iPad, par exemple.
Il ressemble davantage au papier et possède les mêmes facilités de rangement et de transport que celui-ci.
Dans une version polychrome, il pourrait même servir de support à affiche ou à «poster» en diaporama par exemple.
Ou encore support à œuvre d'art animée ou en diaporama aussi.
Beaucoup d'avenir pour ce «papier électronique» dont le contenu (stocké ou téléchargé) sera indéfiniment renouvelable.
Un nouveau tableau de l'évolution où l'évolution est présentée avec un nouvel acteur: une explosion nucléaire.
Il peut s'agir d'une bombe, dont l'explosion est déclenchée accidentellement ou délibérément, ou de l'explosion d'une centrale nucléaire, par exemple, mais, quoi qu'il en soit, le successeur de l'homo sapiens sera un être à trois pattes (ou seront-ce encore des jambes?) et à trois bras, si j'en crois mes yeux.
Dans le compte rendu de ce livre, dans «Le Monde» (ici), -«Terres de sang» par Thimothy Snyder (page en anglais au bout de ce lien)- je découvre ce que j'avais toujours pressenti (j'en ai souvent parlé dans ce blogue) mais que je ne savais pas de sources sûres: que l'un des modèles d'Adolf Hitler pour opérer ses massacres avait été la conquête de l'Ouest par les Étasuniens.
L'auteur -qui est étasunien- ne le souligne pas beaucoup, évidemment, mais ne peut le passer complètement sous silence. Voyez:
Sans les passer totalement sous silence, Snyder laisse néanmoins de côté les éléments qui rentrent moins dans sa démonstration, notamment le fait qu'Hitler se soit référé à d'autres modèles de conquête que les pratiques soviétiques : celle de l'Ouest américain par l'extermination des populations autochtones, par exemple.
Car le livre porte essentiellement sur le parallélisme exact entre les massacres nazis et les massacres soviétiques et sur le fait que l'un et l'autre se soient réciproquement inspirés dans la conduite et les objectifs des massacres, toujours commis pour des raisons ethniques et raciales (malgré les justifications sociales derrière lesquelles les Soviétiques se sont dissimulés, appuyés par tous les traîtres compagnons de route occidentaux).
L'auteur peut mettre de l'avant cette perspective pour ne pas trop parler des massacres opérés impunément sur les Amérindiens par ses compatriotes, massacres qui ont inspiré les Nazis sans doute davantage que les massacres soviétiques.
Les «Terres de sang» ne sont pas qu'européennes.
Décor intéressant à l'emplacement de la roue de secours mais contraste inquiétant entre la taille et la puissance de la voiture (la fumée du pétrole doit bondir dans toutes les directions au moindre contact avec la pédale de l'accélérateur) et la théorique fraîcheur du produit (un frais sushi).
Contraste entre le cru et le cuit.
Dans l'état actuel des choses au Québec (manifestations légitimes des étudiants contre la hausse des frais de scolarité) je suis plutôt content de voir cet «agent de la loi» ainsi aplati par le rouleau compacteur.
La nature parfois est plus forte que la loi et les imprudents représentants de celle-ci.
La nature et les choses plus précisément.
Comme vous le voyez.
C'est à Sofia en Bulgarie. C'était le monument aux armées soviétiques qui auraient «libéré» la Bulgarie des armées nazies lors de la plus récente guerre mondiale (je ne dis pas «dernière» car il y en aura sûrement d'autres).
«Libéré» est un mot qui ne convient pas: est-ce qu'une armée soviétique (voire russe impériale) a un jour libéré un pays dans lequel elle a pénétré?
«Asservi» conviendrait mieux.
Les armées soviétiques (et impériales russes) ont toujours asservi les pays qu'elles prétendaient libérer.
Le monument a été élevé par les traîtres collaborateurs bulgares qu'elles avaient placé à la tête de la Bulgarie pour la gouverner dans l'intérêt des dictateurs communistes de Moscou et sous leurs ordres.
Maintenant que l'empire soviétique a considérablement reculé (mais il n'est pas mort, il peut encore nuire, il peut encore asservir) et est devenu russe, les Bulgares libérés, mais véritablement cette fois, peuvent se moquer des Russes et de la prétendue armée libératrice soviétique.
C'est la raison pour laquelle j'ai écrit «C'était le monument...»
Ils ont en effet peint les personnages du monument en super-héros (et autres personnages) étasuniens: Superman, Ronald McDonald, Santa Claus, etc. (j'avoue ne pas les connaître tous).
Peut-être, en ridiculisant ainsi les Soviétiques, ridiculisent-ils aussi la société qui a accouché de ces personnages ridicules.
Les deux «libérateurs» de la plus récente guerre mondiale sont ridiculisés dos à dos.
Subtils Bulgares!
Elle est jolie (comme la guerre selon Guillaume Apollinaire) cette première moto construite en 1885 par ses inventeurs, les Allemands Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach.
Elle est jolie avec son laiton doré et son moteur à explosion alimenté par de l'essence.
C'est le premier véhicule à fonctionner au pétrole.
Au «pétromerde», comme je l'ai un jour appelé.
C'est le premier de tous les véhicules qui ont fait la planète où nous vivons une planète étouffée par la pollution.
Le péché originel.
Le prix des médicaments diffère d'un pays à l'autre mais la cupidité des compagnies pharmaceutiques est partout la même (je suis bien placé pour en témoigner).
Je suis donc arrivé à la conclusion qu'il me fallait traduire cette image que j'ai trouvée ici pour souligner cette universelle cupidité.
C'est sans doute l'une des raisons pour lesquelles, chez les gens qui se disent «en couple», les couples mariés sont minoritaires, du moins au Québec.
Et je crois qu'excepté dans les pays où les gens (pour leur malheur) sont soumis à une loi religieuse le mariage est en sérieuse perte de vitesse partout sur la planète, sauf chez les gens qui n'y ont pas encore accès aujourd'hui et particulièrement là où ils n'y ont pas accès.
(J'aimerais voir les statistiques concernant les mariages de personnes de même sexe (au Québec, par exemple, où ce mariage est permis depuis plusieurs années, de même que l'homoparentalité) et les statistiques concernant les mariages de personnes de sexe différent, pour voir dans quel groupe le pourcentage de mariages est le plus élevé, et si ce pourcentage s'est accru plus rapidement dans un groupe que dans l'autre au cours, par exemple, des deux dernières années.)
Ce heurtoir est un peu vulgaire, ce me semble, puisque son marteau est constitué par les testicules de ce dieu grec ou romain (plutôt romain, je dirais) que vous voyez.
Mais, selon la personne qui a publié sa photographie sur une page Facebook, il éloigne de votre porte ces colporteurs missionnaires religieux (Témoins de Jéhovah, Mormons, etc.) qui tentent de vous convertir à leur religion pour vous sauver de l'enfer.
Le sexe leur ferait tellement peur qu'ils n'oseraient pas se saisir des testicules pour frapper à votre porte et fuiraient au contraire loin de cet objet diabolique en prenant leurs jambes à leur cou.
Je ne crois pas qu'on puisse en acheter sur eBay ou chez Walmart dont le bureau de moralité ne le permettrait sans doute pas.
Je m'en passe personnellement car j'ai confectionné une affichette que j'ai collée sur la porte et où j'ai inscrit: «Pas de religionnaire».
Aucun colporteur religieux n'a osé frapper à ma porte depuis au moins 20 ans.
Et -exploit suprême- mon affichette m'a même débarrassé des Catholiques.
Le mot «religionnaire» pouvait prêter à confusion car, inventé par les Catholiques, il s'appliquait en France, au 17e siècle, aux méprisables membres des diverses Églises réformées qu'ils allaient exiler en masse ou convertir de force ou massacrer lors de la Révocation de l'Édit de Nantes par Louis XIV et ses sbires ecclésiastiques et politiques.
L'un d'eux m'a demandé un jour si le mot s'appliquait aussi aux Catholiques et je lui ai répondu: «Naturellement».
Pas le moindre Catholique non plus devant ma porte depuis ce temps (en tous cas à des fins de conversion).
Je n'ai pas besoin des testicules du dieu romain.
J'ai trouvé cette image sur une page Facebook. J'y ai corrigé une faute d'orthographe aussi dégradante que la burka (j'ai laissé la graphie «burqua» à burka car c'est un mot d'origine (heureusement) étrangère, donc de graphie flottante)- et vous la présente.
Car elle me semble montrer encore une fois, souligner à double trait encore une fois, que ceux qui préconisent le port de la burka veulent que les femmes soient des objets, des choses, le plus possible inanimé(e)s.
Privant ainsi leur société de la meilleure partie des humains.
C'est effectivement dégradant.
Non humain!
Religieux!