vendredi 8 mars 2013

Morceaux de viande

Même maintenant où il n'est plus que lui-même, il ne peut empêcher son discours de dérailler comme aux jours de sa présidence (si on peut appeler cela ainsi).
Dérailler ?
Plutôt : trahir !
Je ne dirais pas trahir sa pensée (pas de pensée dans cette tête, manifestement) mais ses « tourbillonnets » cérébraux : les enfants (comme tous les humains et, en particulier, les Français) sont des morceaux de viande.
Pouah ! Quel con !

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