« Pâques a été la fête centrale du christianisme, jusqu'à ce que
l'Angleterre victorienne invente, avec Dickens, le Christmas où l'on
peut enfin jouir d'un peu de feel good (boire et bien manger en
famille, tout en recevant des cadeaux), célébration qui ne fera que
s'étendre dans toutes les directions jusqu'à rendre superflue la
référence au Christ (dans l'intitulé de Christmas) pour ne devenir que des (Bonnes) Fêtes. » (Olivier Roy, L'aplatissement du monde, Paris, Seuil, 2022, p. 196.).
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