La vue date des années 1830 mais la rue existe toujours avec le même nom et longe toujours la clôture de fer forgée de la cathédrale anglicane dont le roi George III a payé lui-même l’édification, pensant ainsi mieux convertir à l’anglicanisme les habitants de la Nouvelle-France récemment conquise.
Il aurait peut-être réussi s’il avait ordonné au clergé anglican d’utiliser le latin ou le français dans les cérémonies religieuses.
Pour ma part je pense que, dans ces conditions, la chose aurait été préférable à la conservation de la soumission à l’Église romaine car il y aurait maintenant des prêtres et des évêques femmes dans l’église chrétienne québécoise comme il en existe dans les autres églises épiscopales issues de l’Église d’Angleterre, du moins dans celles qui n’appartiennent pas aux pays sous-développés.
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