C'est la dernière proposition en ce qui concerne le « véritable » visage de Shakespeare.
Pas de canonisation ou de divinisation : c'est le visage ordinaire d'un être humain, dont le génie ne résidait pas dans le visage, comme vous et moi le savons bien !
C'est lui qui écrivait « qu'une rose, sous un tout autre nom, sentirait aussi bon » !
Pas de canonisation ou de divinisation : c'est le visage ordinaire d'un être humain, dont le génie ne résidait pas dans le visage, comme vous et moi le savons bien !
C'est lui qui écrivait « qu'une rose, sous un tout autre nom, sentirait aussi bon » !
Pour l'odeur, la chose est vraie, mais pour les liens que les sons de « rose » entretiennent avec tous les mots qui contiennent ces sons, tous ou en partie, il conviendrait lui-même qu'il a tort, en poète qu'il est !
Sous un autre nom, une rose ne serait pas ce qu'elle est !
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