Je ne me souviens pas d'avoir, dans mon enfance, mangé d'autres fraises que les fraises que mes grands-mères appelaient des « petites fraises », celles qu'on devait aller ramasser dans les bois pour en avoir et que, pour cette raison, sans doute, les dictionnaires appellent « fraises des bois ».
C'était les fraises qu'on mangeait chez les paysans européens et à la cour des rois, et dont on avait peut-être importé les plants en Nouvelle-France et dans le reste de l'Amérique, comme les pissenlits.
Les vraies fraises !
Quand on voyait, dans les champs et les bois, ces petites fleurs blanches, on savait qu'on allait bientôt goûter leur exquise saveur rouge :
C'était les fraises qu'on mangeait chez les paysans européens et à la cour des rois, et dont on avait peut-être importé les plants en Nouvelle-France et dans le reste de l'Amérique, comme les pissenlits.
Les vraies fraises !
Quand on voyait, dans les champs et les bois, ces petites fleurs blanches, on savait qu'on allait bientôt goûter leur exquise saveur rouge :
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