Les couleurs qui sont projetées sur la façade de la cathédrale de Reims lors d'un spectacle « Sons et Lumières » sont éclatantes, davantage, sans doute, que celles que l'on y peignait, au Moyen Âge.
Mais il faut imaginer la cathédrale ainsi colorée, et non monochrome comme elle nous apparaît à l'heure actuelle quand le « Sons et Lumières » est terminé.
Et colorées aussi toutes les cathédrales gothiques de France et de Navarre, voire de tous les pays où s'est répandu l'« opus francigenum » (nom original du style, remplacé par le méprisant nom « gothique », au 18e siècle).
Il faut faire comme si, au Moyen Âge et pendant tout le temps où on refaisait la peinture quand elle était effacée par le temps et le climat, la pierre faisait concurrence aux vitraux, seul reste coloré des cathédrales primitives.
Mais il faut imaginer la cathédrale ainsi colorée, et non monochrome comme elle nous apparaît à l'heure actuelle quand le « Sons et Lumières » est terminé.
Et colorées aussi toutes les cathédrales gothiques de France et de Navarre, voire de tous les pays où s'est répandu l'« opus francigenum » (nom original du style, remplacé par le méprisant nom « gothique », au 18e siècle).
Il faut faire comme si, au Moyen Âge et pendant tout le temps où on refaisait la peinture quand elle était effacée par le temps et le climat, la pierre faisait concurrence aux vitraux, seul reste coloré des cathédrales primitives.
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