La chute Montmorency, nommée ainsi par Samuel de Champlain en l'honneur du grand amiral de France sous le roi Henri IV, vue de l'île d'Orléans, nommée ainsi par Jacques Cartier, en l'honneur du duc d'Orléans, fils de François 1er et frère de Henri II.
Elle est plus haute de 30 mètres que les chutes du Niagara mais Chateaubriand n'en parle pas, ne s'y étant pas rendu (pas plus, d'ailleurs, qu'aux chutes du Niagara : l'enchanteur était un grand menteur, comme tous les enchanteurs).
Vous voyez, derrière, en bleu, les montagnes des Laurentides où passe la route vers le Saguenay où j'habite.
Voici un zoom sur la chute :
« Une légende entoure la beauté de la chute Montmorency. Celle-ci se déroule lorsque le Québec s'appelait encore la Nouvelle-France, en 1759, à la frontière de Boischâtel et de Beauport, à quelques kilomètres de la ville de Québec. Mathilde et Louis, deux amoureux, se fréquentaient souvent au haut de la chute Montmorency. Ils s’aimaient tellement que Louis demanda la main de Mathilde. Le père de la jeune fille connaissait déjà très bien Louis et accepta avec bonheur de donner sa fille en mariage. La cérémonie devait avoir lieu en juillet et Mathilde avait choisi la plus belle des robes blanches.
Malheureusement, à cette époque, la guerre faisait rage en Amérique, et quelques jours avant la fameuse date, les Anglais débarquèrent et lancèrent une attaque aux environs de la chute. Louis, s’étant engagé dans la milice, partit pour la bataille. Après des heures acharnées de combats, l’armée et la milice française finirent par contenir les avancées anglaises, aidées par la pluie qui rendait le combat difficile. Apprenant la bonne nouvelle, Mathilde se dirigea vers le champ de bataille, sourire aux lèvres. Rendue sur place, elle découvrit le corps livide de son amant. Pris d’une tristesse plus grosse que son cœur ne pouvait le supporter, elle retourna à la ferme de ses parents, enfila sa magnifique robe et se jeta dans le vide de la chute.
Encore aujourd’hui, principalement en été et en automne, les habitants des environs disent voir une forme blanchâtre courir de l'ancien champ de bataille et se jeter dans les remous de la chute ou alors voir son visage dans la chute Montmorency. »
Elle est plus haute de 30 mètres que les chutes du Niagara mais Chateaubriand n'en parle pas, ne s'y étant pas rendu (pas plus, d'ailleurs, qu'aux chutes du Niagara : l'enchanteur était un grand menteur, comme tous les enchanteurs).
Vous voyez, derrière, en bleu, les montagnes des Laurentides où passe la route vers le Saguenay où j'habite.
Voici un zoom sur la chute :
« Une légende entoure la beauté de la chute Montmorency. Celle-ci se déroule lorsque le Québec s'appelait encore la Nouvelle-France, en 1759, à la frontière de Boischâtel et de Beauport, à quelques kilomètres de la ville de Québec. Mathilde et Louis, deux amoureux, se fréquentaient souvent au haut de la chute Montmorency. Ils s’aimaient tellement que Louis demanda la main de Mathilde. Le père de la jeune fille connaissait déjà très bien Louis et accepta avec bonheur de donner sa fille en mariage. La cérémonie devait avoir lieu en juillet et Mathilde avait choisi la plus belle des robes blanches.
Malheureusement, à cette époque, la guerre faisait rage en Amérique, et quelques jours avant la fameuse date, les Anglais débarquèrent et lancèrent une attaque aux environs de la chute. Louis, s’étant engagé dans la milice, partit pour la bataille. Après des heures acharnées de combats, l’armée et la milice française finirent par contenir les avancées anglaises, aidées par la pluie qui rendait le combat difficile. Apprenant la bonne nouvelle, Mathilde se dirigea vers le champ de bataille, sourire aux lèvres. Rendue sur place, elle découvrit le corps livide de son amant. Pris d’une tristesse plus grosse que son cœur ne pouvait le supporter, elle retourna à la ferme de ses parents, enfila sa magnifique robe et se jeta dans le vide de la chute.
Encore aujourd’hui, principalement en été et en automne, les habitants des environs disent voir une forme blanchâtre courir de l'ancien champ de bataille et se jeter dans les remous de la chute ou alors voir son visage dans la chute Montmorency. »
Tiré de l'article de Wikipédia consacré à la chute.
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