Selon Patrick Lagacé dans sa chronique d'hier (2012 : ici) dans le journal « La Presse » (« Série argent: la longueur de notre chaîne »), ce n'est pas seulement cette pauvre femme perdue dans le désert qui préfère les soldes à l'eau de la vie, mais nous tous qui, les week-ends, remplissons les stationnements des centre d'achats avec nos voitures.
Pire, c'est nous qui résumons notre vie à des achats.
Assez véridique.
Cela avait été décrit en 1955 par l'économiste étasunien Victor Lebow (page en anglais au boit de ce lien), cité dans la chronique :
Notre très productive économie exige que nous fassions de la consommation notre mode de vie, que nous transformions l'achat et l'utilisation de biens en rituels, que nous cherchions une satisfaction spirituelle, une satisfaction de l'ego dans la consommation [...]. Plus l'individu est invité à se conformer à des normes sociales consensuelles, plus il tend à exprimer ses aspirations et son individualité selon ce qu'il porte, conduit, mange... Sa maison, son auto, les portions dans ses repas, ses hobbies.
Pire, c'est nous qui résumons notre vie à des achats.
Assez véridique.
Cela avait été décrit en 1955 par l'économiste étasunien Victor Lebow (page en anglais au boit de ce lien), cité dans la chronique :
Notre très productive économie exige que nous fassions de la consommation notre mode de vie, que nous transformions l'achat et l'utilisation de biens en rituels, que nous cherchions une satisfaction spirituelle, une satisfaction de l'ego dans la consommation [...]. Plus l'individu est invité à se conformer à des normes sociales consensuelles, plus il tend à exprimer ses aspirations et son individualité selon ce qu'il porte, conduit, mange... Sa maison, son auto, les portions dans ses repas, ses hobbies.
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