dimanche 19 juin 2016

Ne te demande pas pour qui tu meurs, dis-toi que ce n'est pas pour toi ni pour les tiens

Pire : on meurt pour des financiers ou des boursicoteurs qui ne songent qu'à des profits rapides qu'ils font disparaître dans les paradis fiscaux appartenant ou non (ils s'en contrefichent) à l'ennemi.
Pire encore, quand on est Québécois : on meurt pour des gens qui n'ont jamais voulu autre chose que votre disparition et celle de votre nation, en confiant les basses besognes à de pauvres naïfs prêts à tout, et qui sont pourtant vos compatriotes, afin de vous tromper sur l'origine des coups.

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