vendredi 1 mars 2013

La liberté confisquée

Dans le résumé du roman de Virginia Pésémapéo Bordeleau dont vous voyez la page couverture, il y a l'histoire de chacun des Québécois et des Amérindiens du Québec.
Voyez (résumé écrit pas Marie-Christine Blais de « La Presse ») :

En 1942, après avoir échappé de peu à une noyade dans le lac Abitibi, Gabriel, un trappeur métis instruit qui porte des lunettes et écrit des poèmes, rencontre Wabougouni l'Algonquine, l'Abishnage aux cheveux roux, seul vestige visible du prêtre qui viola sa grand-mère. Que Wabougouni soit enceinte d'un autre n'empêche pas leur liaison, d'abord charnelle, puis amoureuse. Leurs amours prennent racine dans une nature encore peu défrichée, luxuriante et âpre tout à la fois. Gabriel doit toutefois quitter Wabougouni et le Québec pour combattre en Europe.

Dans ce résumé, il y a, entre autres, les raisons pour lesquelles je hais l'Église romaine et son rôle dans l'histoire du Québec (pas seulement à cause du viol de l'Amérindienne par un prêtre, le moindre des crimes du stupide clergé de cette religion).
Et il y a aussi les raisons de bien d'autres haines mais en aucun cas la haine des Métis (puisque tous les Québécois et tous les Amérindiens le sont).
Toutes sont dans le titre de ce billet.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire