Dans l'empire romain de son temps, on disait de lui, et de ceux qui partageaient sa couleur de peau, qu'ils étaient Nubiens, d'origine nubienne, car ils étaient citoyens romains.
Mais c'était des Noirs d'origine africaine.
Celui-ci était assez riche pour s'offrir, sur sa tombe, ce portrait qu'on appelle maintenant, comme les autres qu'on y a trouvés, « portraits du Fayoum », et qui étaient les équivalents, en plus réaliste, disons en plus romain, des masques des momies égyptiennes, puisque, comme ces masques, ces portraits permettaient aux morts de vivre au-delà de la mort, comme, croyait-on, le permettait leur momification pour les pharaons et les membres de leur cour.
L'empire romain pratiquait l'égalité des « races », comme on peut le voir, et s'il y avait des esclaves noirs, il y avait aussi des esclaves blancs et aussi de toutes sortes de couleurs de peau, et des citoyens à la peau noire, blanche ou de toutes les couleurs.
Ce citoyen romain noir du 1er siècle après Jésus-Christ (2 000 ans), on connaît son visage dont, pourtant, l'original a depuis longtemps disparu, et on connaît, peut-être, le sentiment que lui inspire sa propre mort.
Mais c'était des Noirs d'origine africaine.
Celui-ci était assez riche pour s'offrir, sur sa tombe, ce portrait qu'on appelle maintenant, comme les autres qu'on y a trouvés, « portraits du Fayoum », et qui étaient les équivalents, en plus réaliste, disons en plus romain, des masques des momies égyptiennes, puisque, comme ces masques, ces portraits permettaient aux morts de vivre au-delà de la mort, comme, croyait-on, le permettait leur momification pour les pharaons et les membres de leur cour.
L'empire romain pratiquait l'égalité des « races », comme on peut le voir, et s'il y avait des esclaves noirs, il y avait aussi des esclaves blancs et aussi de toutes sortes de couleurs de peau, et des citoyens à la peau noire, blanche ou de toutes les couleurs.
Ce citoyen romain noir du 1er siècle après Jésus-Christ (2 000 ans), on connaît son visage dont, pourtant, l'original a depuis longtemps disparu, et on connaît, peut-être, le sentiment que lui inspire sa propre mort.
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