Cette photo représente des membres du Ku-Klux-Klan du Canada.
Le drapeau de la Grande-Bretagne que vous voyez était l'un des fiers drapeaux officiels du Canada, à l'époque (on le voit parfois encore aujourd'hui).
Les membres de cette association poursuivaient de leur haine non seulement les Noirs, comme aux États-Unis, mais aussi ceux qu'on appellera plus tard les « Nègres blancs d'Amérique », les Québécois et les Francophones du Canada.
L'influence de ces suprémacistes linguistiques s'exercera sur tous les gouvernements canadiens à majorité anglophones qui, tour à tour, avec la complicité tacite du gouvernement fédéral canadien, votèrent des lois pour interdire l'enseignement du français et les écoles françaises dans leur juridiction, afin de consommer le génocide culturel des Francophones qui était (et est toujours) l'objectif premier, quoique secret, de la fondation de la « confédération » canadienne et du régime d'union qui a précédé celle-ci :
1. En 1864, la Nouvelle-Écosse ferme les écoles françaises ;
2. En 1871, le Nouveau-Brunswick le fait à son tour ;
3. En 1877, l'Île-du-Prince-Édouard suit le mouvement génocidaire ;
4. 1892, l'Alberta et la Colombie-Britannique suivent ;
5. En 1896, le Manitoba le fait à son tour ;
6. En 1902, la Saskatchewan ;
7. En 1917, l'Ontario.
À la suite de ces lois et de ces interdictions, l'assimilation des Francophones fut prodigieuse (et l'est encore) et fait en sorte que seuls les Québécois (à qui on impose le bilinguisme anglais-français, dans l'ordre) restent majoritairement francophones dans la sorte de réserve francophone (mais bilingue) que constitue le Québec, comparable aux réserves où les Amérindiens sont contenus et voués, comme les Francophones, à la disparition.
Le drapeau de la Grande-Bretagne que vous voyez était l'un des fiers drapeaux officiels du Canada, à l'époque (on le voit parfois encore aujourd'hui).
Les membres de cette association poursuivaient de leur haine non seulement les Noirs, comme aux États-Unis, mais aussi ceux qu'on appellera plus tard les « Nègres blancs d'Amérique », les Québécois et les Francophones du Canada.
L'influence de ces suprémacistes linguistiques s'exercera sur tous les gouvernements canadiens à majorité anglophones qui, tour à tour, avec la complicité tacite du gouvernement fédéral canadien, votèrent des lois pour interdire l'enseignement du français et les écoles françaises dans leur juridiction, afin de consommer le génocide culturel des Francophones qui était (et est toujours) l'objectif premier, quoique secret, de la fondation de la « confédération » canadienne et du régime d'union qui a précédé celle-ci :
1. En 1864, la Nouvelle-Écosse ferme les écoles françaises ;
2. En 1871, le Nouveau-Brunswick le fait à son tour ;
3. En 1877, l'Île-du-Prince-Édouard suit le mouvement génocidaire ;
4. 1892, l'Alberta et la Colombie-Britannique suivent ;
5. En 1896, le Manitoba le fait à son tour ;
6. En 1902, la Saskatchewan ;
7. En 1917, l'Ontario.
À la suite de ces lois et de ces interdictions, l'assimilation des Francophones fut prodigieuse (et l'est encore) et fait en sorte que seuls les Québécois (à qui on impose le bilinguisme anglais-français, dans l'ordre) restent majoritairement francophones dans la sorte de réserve francophone (mais bilingue) que constitue le Québec, comparable aux réserves où les Amérindiens sont contenus et voués, comme les Francophones, à la disparition.
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