Ce tableau de William Turner présente l'incendie du premier palais de Westminster, siège du parlement britannique, au mois d'octobre 1834.
Ce palais, d'abord résidence royale, a peu à peu été cédé par les monarques aux membres de la Chambre des Communes et de la Chambre des Lords pour qu'ils y tiennent leurs délibérations.
Voici un dessin où il est représenté avant son incendie, en son aspect pluriséculaire :
Comme vous le constatez, son style d'architecture n'est pas vraiment « gothique », du moins de cette forme du « gothique » que les auteurs de sa reconstruction adoptèrent, peu après son incendie, parce qu'ils croyaient que le « gothique » n'était pas un style d'architecture français (c'était, pour le moins, des ignorants, mais ils étaient férocement aveuglés par la haine ou la jalousie, la preuve : le traitement génocidaire que les députés et lords britanniques, complices de leurs rois de dynastie allemande, infligeaient, au même moment, aux sujets francophones du monarque anglais dans la Nouvelle-France conquise depuis trois-quarts de siècle).
Voici l'aspect, que vous reconnaîtrez, du « nouveau » palais de Westminster :
Pas mal pour un bâtiment d'architecture médiévale française, ne trouvez-vous pas ?
Un autre tableau de Turner, présentant l'incendie de l'ancien palais sous un autre angle :
Ce n'est pas tellement l'incendie ou le palais qui intéresse le peintre que des effets de couleurs qu'il peut créer sur sa toile : c'est un véritable artiste, précurseur des Impressionnistes et de l'art moderne !
Parce que c'est un artiste, la représentation exacte, voire photographique, des choses ne l'intéresse pas, mais certains effets de couleurs, un certain tremblement qui existent dans son œil unique et qui créent une beauté qui n'existe que par eux, que par lui, le créateur, le vrai dieu !
Ce palais, d'abord résidence royale, a peu à peu été cédé par les monarques aux membres de la Chambre des Communes et de la Chambre des Lords pour qu'ils y tiennent leurs délibérations.
Voici un dessin où il est représenté avant son incendie, en son aspect pluriséculaire :
Comme vous le constatez, son style d'architecture n'est pas vraiment « gothique », du moins de cette forme du « gothique » que les auteurs de sa reconstruction adoptèrent, peu après son incendie, parce qu'ils croyaient que le « gothique » n'était pas un style d'architecture français (c'était, pour le moins, des ignorants, mais ils étaient férocement aveuglés par la haine ou la jalousie, la preuve : le traitement génocidaire que les députés et lords britanniques, complices de leurs rois de dynastie allemande, infligeaient, au même moment, aux sujets francophones du monarque anglais dans la Nouvelle-France conquise depuis trois-quarts de siècle).
Voici l'aspect, que vous reconnaîtrez, du « nouveau » palais de Westminster :
Pas mal pour un bâtiment d'architecture médiévale française, ne trouvez-vous pas ?
Un autre tableau de Turner, présentant l'incendie de l'ancien palais sous un autre angle :
Ce n'est pas tellement l'incendie ou le palais qui intéresse le peintre que des effets de couleurs qu'il peut créer sur sa toile : c'est un véritable artiste, précurseur des Impressionnistes et de l'art moderne !
Parce que c'est un artiste, la représentation exacte, voire photographique, des choses ne l'intéresse pas, mais certains effets de couleurs, un certain tremblement qui existent dans son œil unique et qui créent une beauté qui n'existe que par eux, que par lui, le créateur, le vrai dieu !
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