lundi 2 septembre 2013

Cavaliers et chevaux à l'Anse-Saint-Jean

Ce groupe de cavaliers nous l'avons rencontré à l'intérieur du paysage qui apparaissait jadis sur le billet de mille dollars canadien dont je vous ai parlé ici.
Vous pouvez voir dans la photo la splendeur de ce paysage avec ses bleus et ses verts, ses plats et ses montueux, ses champs et ses eaux.
Les cavaliers s'en allaient vers les rivages du Saguenay que vous apercevez (il y a là une plage de sable) en provenance du pont couvert de l'Anse-Saint-Jean (dans cette photo le pont est à droite mais vous ne le voyez pas) :

Pour notre part, nos amis et nous retournions vers le pont couvert et notre voiture car nous avions senti quelques gouttes de pluie sur nos bras, des vents s'étaient levés et nous craignions un orage.
Après un arrêt pour photographier l'église du village (et le presbytère) toujours sous la menace de la pluie, nous avons fait un arrêt au bistro de l'Anse (dont vous avez vu une photo -très partielle- ici) pour nous désaltérer avant de revenir à Arvida.
C'est sur la terrasse du bistro que l'orage nous a rattrapés, éclatant avec une violence telle que le parasol de notre table s'est littéralement envolé, d'un vol qui ressemblait au départ lent et lourd d'une fusée à Cap Canaveral.
(Pas de photo tant nous avons été soufflés (!) par la chose).
Les cavaliers que nous avions rencontrés étaient arrivés au bistro peu après nous et avaient attaché leurs chevaux dans un bosquet d'arbres devant la terrasse.
Voici des photos de ceux-ci, stoïques sous la pluie, les éclairs et le tonnerre (les photos où je vous les présente ont toutes été prises par Jacques-G. Tremblay se servant de mon appareil : nous faisions, ma femme et moi, cette excursion à l'Anse-Saint-Jean avec sa femme, Sylvie Lavoie, et lui. Nous sommes amis depuis près de cinquante ou soixante ans, depuis que nous sommes vraiment très jeunes).
Les chevaux, donc, sont à droite, dans le bosquet d'arbres, devant la terrasse. L'horizon est disparu dans la pluie : 



En voici deux vues rapprochées (le photographe s'est « mouillé » pour prendre ces photos) :


 Et puis voici une photo du cheval pie (royal ?) que montait le guide du groupe de cavaliers :


P.S. Sur ces chevaux et d'autres, lire le billet de ma femme, ici, où il y a un poème de Rainer Maria Rilke.

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