dimanche 18 septembre 2011

Les détestables humains

Pour être ironique à l'égard de Julien Gracq (c'est lui l'auteur de cette phrase, et vous voyez sa photo à droite de l'image) c'est qu'en vieillissant je constate que le désir de changer le monde est un désir de jeune.
Le désir de contempler est un désir de vieillard.
J'ajouterais que s'il n'y avait pas les humains, il n'y aurait rien à changer au monde.
Seulement à contempler.
Mais il y a les humains, les détestables humains, rebuts de l'univers...

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